Des agents de santé du Centre Covid-19 de Yopougon, une commune populaire située dans l’Ouest d’Abidjan, ont manifesté bruyamment lundi suite au non-paiement de leurs primes Covid-19.
« La prime prend un peu de retard » en raison d’un processus mis en place, mais « je crois qu’il y a eu un problème sur les noms et les signatures » dans des dossiers, a expliqué à APA M. Salif Sanogo, conseiller du ministre de la Santé et de l’hygiène publique.
Selon M. Sanogo, ces agents « revendiquent sept mois d’arriérés de primes Covid-19 ». Toutefois, certaines catégories du corps médical ont perçu ces primes, mais « d’ici la semaine prochaine ce sera une histoire derrière nous ».
Certains, insistera-t-il, ont commencé à être payés depuis la semaine dernière. Les dossiers sont traités par la Banque mondiale qui fait les paiements, mais l’institution a indiqué qu’ « il y avait une incohérence ».
De ce fait, ils ont « rejeté » les dossiers pour qu’ils soient profilés et ils sont repartis la semaine dernière. Depuis jeudi dernier, c’est en traitement et sous peu, les paiements pourront se faire, voire avant la fin de l’année 2020.
« Dans les jours à venir ou d’ici la fin de l’année, ça va se faire », a rassuré le conseiller du ministre, qui a noté que « le dialogue a prévalu » lors des échanges avec les agents mécontents qui ont « accepté de lever le mot d’ordre de grève ».
Cette prime était octroyée par le passé aux agents de l’Institut national de l’hygiène publique, du SAMU (Service d’aide médicale d’urgence) et des maladies infectieuses tropicales de Treichville. Mais, suite à un plaidoyer du ministre Aka Aouélé, le gouvernement a étendu cette prime à tous les agents des sites sanitaires Covid-19.
Sur les sites sanitaires Covid-19, travaillent des infirmiers, des sages-femmes et des contractuels.
Le point de la situation de la Covid-19 au 20 décembre 2020 indiquait 28 nouveaux cas sur 1 930 échantillons prélevés soit 1,4% de cas positifs, 27 guéris et zéro décès. Le pays comptait 21 918 cas confirmés dont 21 478 personnes guéries, 133 décès et 306 cas actifs.
AP/ls/APA
« La prime prend un peu de retard » en raison d’un processus mis en place, mais « je crois qu’il y a eu un problème sur les noms et les signatures » dans des dossiers, a expliqué à APA M. Salif Sanogo, conseiller du ministre de la Santé et de l’hygiène publique.
Selon M. Sanogo, ces agents « revendiquent sept mois d’arriérés de primes Covid-19 ». Toutefois, certaines catégories du corps médical ont perçu ces primes, mais « d’ici la semaine prochaine ce sera une histoire derrière nous ».
Certains, insistera-t-il, ont commencé à être payés depuis la semaine dernière. Les dossiers sont traités par la Banque mondiale qui fait les paiements, mais l’institution a indiqué qu’ « il y avait une incohérence ».
De ce fait, ils ont « rejeté » les dossiers pour qu’ils soient profilés et ils sont repartis la semaine dernière. Depuis jeudi dernier, c’est en traitement et sous peu, les paiements pourront se faire, voire avant la fin de l’année 2020.
« Dans les jours à venir ou d’ici la fin de l’année, ça va se faire », a rassuré le conseiller du ministre, qui a noté que « le dialogue a prévalu » lors des échanges avec les agents mécontents qui ont « accepté de lever le mot d’ordre de grève ».
Cette prime était octroyée par le passé aux agents de l’Institut national de l’hygiène publique, du SAMU (Service d’aide médicale d’urgence) et des maladies infectieuses tropicales de Treichville. Mais, suite à un plaidoyer du ministre Aka Aouélé, le gouvernement a étendu cette prime à tous les agents des sites sanitaires Covid-19.
Sur les sites sanitaires Covid-19, travaillent des infirmiers, des sages-femmes et des contractuels.
Le point de la situation de la Covid-19 au 20 décembre 2020 indiquait 28 nouveaux cas sur 1 930 échantillons prélevés soit 1,4% de cas positifs, 27 guéris et zéro décès. Le pays comptait 21 918 cas confirmés dont 21 478 personnes guéries, 133 décès et 306 cas actifs.
AP/ls/APA