Présenter la proposition référentielle de prise en charge des victimes de Violences Basées sur le Genre(VBG), offrir aux femmes leaders de communautés un outils pour mieux encadrer la lutte contre les VBG, aider à améliorer le référentiel à travers un test grandeur nature, tels sont les points qui ont marqués la séance de formation de 62 femmes des 31 régions de la Côte d’Ivoire initié par WANEP-Côte ce lundi 28 décembre 2020 à l’hôtel la rose blanche sis à Cocody.
Au nombre des formatrices Mme Achi Blandine chargé de programme genre et santé au sein de l’ONG organisation nationale pour l’enfant, la femme et la famille, a fait savoir que cette formation revêt de l’importance au regard des violences que les femmes et les enfants subissent dans les différentes communautés. A en croire son propos, face à ces violences très souvent l’on ignore quelle attitude adopter pour accompagner la personne qui a été victime de violence « cette formation est fait pour avoir un référentiel de prise en charge des personnes victime de violence », a-t-elle déclaré
Cecile Ahouma Kouassi PCA de l’Organisation pour la promotion de l’entreprenariat féminin en Afrique a traduit sa joie d’avoir participé à cette formation qui lui a offert des outils et arguments pour gérer les cas de VBG très récurrent dans sa région le Lôh Djiboua.Dans la même dynamique Touré Madeleine au nom des femmes de Sinfra a salué WANEP-Côte d’Ivoire d’avoir créé cette lucarne d’échanges entre femmes. Selon elle que chacune puisse exposer ses problèmes et les cas VGB dont elles sont témoins a permis d’éclairer les lanternes sur la natures des VBG dans les différents régions de Côte d’Ivoire. Aussi a-t-elle salué l’esprit d’équipe et de solidarité qui résulte de cette formation.
Pour sa part, Bossou Bintou Coulibaly, coordinatrice régionale-nationale de la Coalition des femmes de Côte d’Ivoire a révélé que la formation du jour est le couronnement d’une série d’action menée par la coalition contre les VBG. Elle indiquera que des formations ont eu lieu à l’intérieur du pays avec les femmes communautaires d’Abengourou, de Duékoué et Yamoussoukro. Au cours de ces rendez-vous avec les femmes, des causeries débats ont offert l’opportunité de comprendre le vécu de ces femmes et comment aborder la question de VBG « c’est ce qui nous réunit aujourd’hui afin d’éviter que nous soyons en rang dispersée mais aussi et surtout d’être outillées pour mieux appréhender les questions de prise en charge des VBG », a –elle déclaré.
DA
Au nombre des formatrices Mme Achi Blandine chargé de programme genre et santé au sein de l’ONG organisation nationale pour l’enfant, la femme et la famille, a fait savoir que cette formation revêt de l’importance au regard des violences que les femmes et les enfants subissent dans les différentes communautés. A en croire son propos, face à ces violences très souvent l’on ignore quelle attitude adopter pour accompagner la personne qui a été victime de violence « cette formation est fait pour avoir un référentiel de prise en charge des personnes victime de violence », a-t-elle déclaré
Cecile Ahouma Kouassi PCA de l’Organisation pour la promotion de l’entreprenariat féminin en Afrique a traduit sa joie d’avoir participé à cette formation qui lui a offert des outils et arguments pour gérer les cas de VBG très récurrent dans sa région le Lôh Djiboua.Dans la même dynamique Touré Madeleine au nom des femmes de Sinfra a salué WANEP-Côte d’Ivoire d’avoir créé cette lucarne d’échanges entre femmes. Selon elle que chacune puisse exposer ses problèmes et les cas VGB dont elles sont témoins a permis d’éclairer les lanternes sur la natures des VBG dans les différents régions de Côte d’Ivoire. Aussi a-t-elle salué l’esprit d’équipe et de solidarité qui résulte de cette formation.
Pour sa part, Bossou Bintou Coulibaly, coordinatrice régionale-nationale de la Coalition des femmes de Côte d’Ivoire a révélé que la formation du jour est le couronnement d’une série d’action menée par la coalition contre les VBG. Elle indiquera que des formations ont eu lieu à l’intérieur du pays avec les femmes communautaires d’Abengourou, de Duékoué et Yamoussoukro. Au cours de ces rendez-vous avec les femmes, des causeries débats ont offert l’opportunité de comprendre le vécu de ces femmes et comment aborder la question de VBG « c’est ce qui nous réunit aujourd’hui afin d’éviter que nous soyons en rang dispersée mais aussi et surtout d’être outillées pour mieux appréhender les questions de prise en charge des VBG », a –elle déclaré.
DA