Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Soumahoro, souhaite une participation "sincère" des partis de l’opposition au dialogue politique initié par le gouvernement en vue de parvenir à la décrispation du climat sociopolitique.
« L’opposition doit saisir cette opportunité pour aller sans faux-fuyants, de façon sincère à ce dialogue », a déclaré Amadou Soumahoro à la presse au cours d’un entretien à son domicile, sis au quartier Résidentiel, vendredi 1er janvier 2021.
Le dialogue politique placé sous les auspices du Premier ministre Hamed Bakayoko a été suspendu après une semaine de discussion, sans qu’un accord formel n’ait été trouvé. Seule avancée notable, la tenue du scrutin législatif le 6 mars 2021.
« Il faut que l’opposition puisse participer activement à ce dialogue », a insisté Amadou Soumahoro qui a remercié le Président de la République, Alassane Ouattara, qui, par cette initiative, ‘’démontre son amour pour la paix, pour la quiétude des Ivoiriens’’.
Les violences électorales liées à la présidentielle d’octobre, boycottée par l'opposition qui a appelé à une campagne de désobéissance civile, ont officiellement fait 85 morts et 500 blessés entre août et novembre 2020.
Le dialogue politique engagé depuis des mois par le Président de la République Alassane Ouattara et réitéré lors de sa prestation de serment, le 14 décembre dernier, a effectivement repris le lundi 21 décembre 2020, à Abidjan, à la Primature, sous la présidence du Premier Ministre Hamed Bakayoko.
Les principaux acteurs politiques et responsables des organisations de la société civile étaient présents à cette rencontre, visant la décrispation du climat politique afin de renforcer la paix et la stabilité. On peut citer, entre autres, le PDCI-RDA (Prof Niamkey Koffi), le FPI (Christine Konan), EDS (Prof Georges-Armand Ouégnin), la LMP (Kabran Appia), l’UDR (Reine Gadeau Lydie), le GOFEHF (Rachel Gogoua), la POECI (Imam Koné Ibrahim), le CSCI (Donzo Bouadou Gerald), etc.
L’objectif de ce dialogue est de définir avec les partis politiques les modalités de mise en œuvre des recommandations de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) relatives à la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI). Et ce, dans la perspective de la tenue des élections législatives au cours du premier trimestre 2021, afin d’être en conformité avec le calendrier de la mise en place des Institutions de la IIIe République.
Pour le Premier Ministre Hamed Bakayoko, la reprise du dialogue politique est une preuve supplémentaire de l’engagement du Président de la République Alassane Ouattara et du gouvernement à créer un environnement favorable et une décrispation du climat politique dans la perspective de la tenue des élections législatives.
Le Chef du gouvernement avait salué la présence des groupements politiques et des organisations de la société civile à cette rencontre. Ce qui démontre, a-t-il dit, que le dialogue demeure l’instrument le plus efficace pour aborder les problématiques socio-économiques et politiques auxquelles notre pays fait face. Il a exhorté les participants à la confiance mutuelle et à un dialogue franc et constructif pour la définition des règles devant régir les prochaines élections.
kkp/ask
« L’opposition doit saisir cette opportunité pour aller sans faux-fuyants, de façon sincère à ce dialogue », a déclaré Amadou Soumahoro à la presse au cours d’un entretien à son domicile, sis au quartier Résidentiel, vendredi 1er janvier 2021.
Le dialogue politique placé sous les auspices du Premier ministre Hamed Bakayoko a été suspendu après une semaine de discussion, sans qu’un accord formel n’ait été trouvé. Seule avancée notable, la tenue du scrutin législatif le 6 mars 2021.
« Il faut que l’opposition puisse participer activement à ce dialogue », a insisté Amadou Soumahoro qui a remercié le Président de la République, Alassane Ouattara, qui, par cette initiative, ‘’démontre son amour pour la paix, pour la quiétude des Ivoiriens’’.
Les violences électorales liées à la présidentielle d’octobre, boycottée par l'opposition qui a appelé à une campagne de désobéissance civile, ont officiellement fait 85 morts et 500 blessés entre août et novembre 2020.
Le dialogue politique engagé depuis des mois par le Président de la République Alassane Ouattara et réitéré lors de sa prestation de serment, le 14 décembre dernier, a effectivement repris le lundi 21 décembre 2020, à Abidjan, à la Primature, sous la présidence du Premier Ministre Hamed Bakayoko.
Les principaux acteurs politiques et responsables des organisations de la société civile étaient présents à cette rencontre, visant la décrispation du climat politique afin de renforcer la paix et la stabilité. On peut citer, entre autres, le PDCI-RDA (Prof Niamkey Koffi), le FPI (Christine Konan), EDS (Prof Georges-Armand Ouégnin), la LMP (Kabran Appia), l’UDR (Reine Gadeau Lydie), le GOFEHF (Rachel Gogoua), la POECI (Imam Koné Ibrahim), le CSCI (Donzo Bouadou Gerald), etc.
L’objectif de ce dialogue est de définir avec les partis politiques les modalités de mise en œuvre des recommandations de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) relatives à la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI). Et ce, dans la perspective de la tenue des élections législatives au cours du premier trimestre 2021, afin d’être en conformité avec le calendrier de la mise en place des Institutions de la IIIe République.
Pour le Premier Ministre Hamed Bakayoko, la reprise du dialogue politique est une preuve supplémentaire de l’engagement du Président de la République Alassane Ouattara et du gouvernement à créer un environnement favorable et une décrispation du climat politique dans la perspective de la tenue des élections législatives.
Le Chef du gouvernement avait salué la présence des groupements politiques et des organisations de la société civile à cette rencontre. Ce qui démontre, a-t-il dit, que le dialogue demeure l’instrument le plus efficace pour aborder les problématiques socio-économiques et politiques auxquelles notre pays fait face. Il a exhorté les participants à la confiance mutuelle et à un dialogue franc et constructif pour la définition des règles devant régir les prochaines élections.
kkp/ask