Madinani – Les femmes de la commune de Madinani ont été appelées, lundi 22 mars 2021, à valoriser leurs droits dans la société lors de la célébration, dans la cour de la mairie, de la Journée internationale de la femme (JIF).
La conférencière, Bagné Christelle, du complexe socio-éducatif, a instruit les femmes de la commune à travers le thème « Promotion économique et sociale de la femme face à la COVID-19 pour une Côte d’Ivoire plus égalitaire », sur leurs droits dans « la société moderne » en matière d’héritage, de travail, de protection, de participation ou encore de sécurité.
« La pandémie à COVID-19 ne doit pas être un prétexte pour freiner notre combat dans nos activités génératrices de revenus quand nous savons que l’Etat met à notre disposition des moyens financiers permettant ainsi de valoriser la qualité de notre travail », a-t-elle affirmé.
Le représentant de la Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Silué Doumenan Jean, a exhorté les femmes à soumettre toutes leurs préoccupations conjugales auprès de sa structure, car « il n’y a pas une autre institution qui défend mieux leurs droits que la leur ».
Présidant la cérémonie, le préfet du département, Santou Dominique, a salué cette initiative qui en est à sa troisième édition. Il a saisi l’occasion pour rendre hommage aux dames qui mettent tout en œuvre pour le bien-être dans leurs foyers.
« C’est pour moi, à l’occasion de cette journée dédiée à la promotion des droits des femmes, d’appeler les hommes au changement de mentalité », a déclaré M. Santou en appelant les chefs de famille aux respects de tous les droits des femmes.
mk/aaa/fmo
La conférencière, Bagné Christelle, du complexe socio-éducatif, a instruit les femmes de la commune à travers le thème « Promotion économique et sociale de la femme face à la COVID-19 pour une Côte d’Ivoire plus égalitaire », sur leurs droits dans « la société moderne » en matière d’héritage, de travail, de protection, de participation ou encore de sécurité.
« La pandémie à COVID-19 ne doit pas être un prétexte pour freiner notre combat dans nos activités génératrices de revenus quand nous savons que l’Etat met à notre disposition des moyens financiers permettant ainsi de valoriser la qualité de notre travail », a-t-elle affirmé.
Le représentant de la Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Silué Doumenan Jean, a exhorté les femmes à soumettre toutes leurs préoccupations conjugales auprès de sa structure, car « il n’y a pas une autre institution qui défend mieux leurs droits que la leur ».
Présidant la cérémonie, le préfet du département, Santou Dominique, a salué cette initiative qui en est à sa troisième édition. Il a saisi l’occasion pour rendre hommage aux dames qui mettent tout en œuvre pour le bien-être dans leurs foyers.
« C’est pour moi, à l’occasion de cette journée dédiée à la promotion des droits des femmes, d’appeler les hommes au changement de mentalité », a déclaré M. Santou en appelant les chefs de famille aux respects de tous les droits des femmes.
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