Abidjan, Des experts des Commissions nationales de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (ComNat-ALPC) de l’espace CEDEAO partagent, du mardi 23 au vendredi 26 mars 2021 à Abidjan, leurs expériences sur la sécurisation de l’armement des forces et la coopération transfrontalière.
Présidant l’ouverture de cet atelier régional, le ministre de l’intérieur et de la sécurité, Vagondo Diomandé a traduit au nom du gouvernement ivoirien l’honneur qu’est, pour la Côte d’Ivoire d’accueillir cette rencontre d’échanges et de partage d’expériences. Il a salué les efforts de mutualisation et de synergie des moyens et actions pour apporter des réponses efficaces à ce fléau.
« Soyez rassurés, que le gouvernement de la Côte d’Ivoire suivra avec un grand intérêt vos activités et évidemment en exploitera à bon escient les recommandations », a confié le ministre.
Pour le président par intérim de la ComNat-ALPC, Djokouéhi Léon, ces échanges et partages d’expériences sur le sujet permettront de faciliter la traçabilité des armes qui échappent au contrôle pour se retrouver dans la circulation illicite, servant ainsi à la commission de crimes et d’actes terroristes. C’est pourquoi pour l’ONG Coginta, partenaire du projet, ledit atelier est d’une opportunité particulière car " la maîtrise des armes conditionne directement la paix et la stabilité ".
Cet atelier régional s’inscrit dans le cadre du projet Côte d’Ivoire Small Arms Light Weapons (CISALW) financé par l’Union Européenne (UE) et mis en œuvre, de novembre 2019 à mai 2021 par l’ONG Coginta en partenariat avec la ComNat-ALPC.
Rassurant les états de la CEDEAO de l’appui constant de l’UE à les accompagner dans la lutte contre la prolifération des armes légères dans la région et sur le contient, l’ambassadeur Jobst Von Kirchmann a salué les avancées qui ont pu déjà être accomplies dans le domaine de la sécurisation des stocks d’armes, de leur identification et de leur gestion.
Selon la CEDEAO, environ huit millions d’armes légères etde petit calibre circuleraient illicitement au sein de ses Etats membres. La prolifération et la circulation illicite de ces armes en Afrique de l’Ouest soutiennent l’émergence d’une criminalité transnationale organisée et des mouvements extrémistes violents.
(AIP)
ebd/tm
Présidant l’ouverture de cet atelier régional, le ministre de l’intérieur et de la sécurité, Vagondo Diomandé a traduit au nom du gouvernement ivoirien l’honneur qu’est, pour la Côte d’Ivoire d’accueillir cette rencontre d’échanges et de partage d’expériences. Il a salué les efforts de mutualisation et de synergie des moyens et actions pour apporter des réponses efficaces à ce fléau.
« Soyez rassurés, que le gouvernement de la Côte d’Ivoire suivra avec un grand intérêt vos activités et évidemment en exploitera à bon escient les recommandations », a confié le ministre.
Pour le président par intérim de la ComNat-ALPC, Djokouéhi Léon, ces échanges et partages d’expériences sur le sujet permettront de faciliter la traçabilité des armes qui échappent au contrôle pour se retrouver dans la circulation illicite, servant ainsi à la commission de crimes et d’actes terroristes. C’est pourquoi pour l’ONG Coginta, partenaire du projet, ledit atelier est d’une opportunité particulière car " la maîtrise des armes conditionne directement la paix et la stabilité ".
Cet atelier régional s’inscrit dans le cadre du projet Côte d’Ivoire Small Arms Light Weapons (CISALW) financé par l’Union Européenne (UE) et mis en œuvre, de novembre 2019 à mai 2021 par l’ONG Coginta en partenariat avec la ComNat-ALPC.
Rassurant les états de la CEDEAO de l’appui constant de l’UE à les accompagner dans la lutte contre la prolifération des armes légères dans la région et sur le contient, l’ambassadeur Jobst Von Kirchmann a salué les avancées qui ont pu déjà être accomplies dans le domaine de la sécurisation des stocks d’armes, de leur identification et de leur gestion.
Selon la CEDEAO, environ huit millions d’armes légères etde petit calibre circuleraient illicitement au sein de ses Etats membres. La prolifération et la circulation illicite de ces armes en Afrique de l’Ouest soutiennent l’émergence d’une criminalité transnationale organisée et des mouvements extrémistes violents.
(AIP)
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