Le séminaire de formation régionale sur le découpage des armes et le logiciel de gestion des stocks à l’attention des officiers militaires, policiers et gendarmes chargés de la gestion des stocks des armes légères de petit calibre dans leur pays respectif, a démarré ce lundi 26 Avril 2021 à l’école de police d’Abidjan pour cinq (5) jours.
Ces assises sont organisées par la Commission de la CEDEAO et la Commission nationale ivoirienne pour le contrôle des armes légères et bénéficient du financement du projet PSS UE-CEDEAO.
Cette formation vise à apprendre aux participants la destruction des armes légères de petit calibre par la découpe à la machine à cisailles et le logiciel RSTS qui est une méthode éfficace et non polluante.
En effet, les crimes organisés, les bandes armées, les terroristes qui livrent une guerre asymétrique à nos États opèrent avec les armes légères acquises illicitement du fait du non respect des normes et standards régissant la gestion des stocks d’armes et munitions.
Pourtant « Reussir à mettre ces armes sous contrôle total, serait résoudre le problème de sécurité physique à 80% » a indiqué le Commissaire Divisionnaire-major de police, Léon Djibré Djokouehi, Président par intérim de la ComNat-ALPC. Il a traduit ses remerciements aux organisateurs de ce séminaire qui va fournir les éléments essentiels de contrôle des armes légères.
Pour Joseph Ahoba, représentant la Commission de la CEDEAO, bien que des progrès aient été enregistrés dans la lutte contre la prolifération des armes légères ces dernières années, ils doivent être consolidés pour éviter une recrudescence de ce fléau. Il a affirmé qu’à l’issue de ce séminaire, la CEDEAO prévoit la destruction régulière des armes obsolètes dans la zone. Car, dira t-il, si un pays parvient à contrôler ses armes et son voisin n’y parvient pas, les efforts seront vains.
Dans son allocution d’ouverture, Francis Ouattara, Conseiller technique représentant le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, a salué l’initiative de cette formation dans un contexte sécuritaire de plus en plus délicat dans l’espace sous-régional.
Il a rappelé que la Côte d’Ivoire qui mesure la dangerosité des armes légères de petit calibre lorsque celles-ci sont hors de contrôle, a fait de la destruction de ce type d’armes une réalité depuis 2012. Il a souhaité de fructueux travaux aux participants afin d’améliorer la sécurité des populations.
Laisser les armes dans la nature, c’est accroître la capacité opérationnelle des criminelles .
PR
Ces assises sont organisées par la Commission de la CEDEAO et la Commission nationale ivoirienne pour le contrôle des armes légères et bénéficient du financement du projet PSS UE-CEDEAO.
Cette formation vise à apprendre aux participants la destruction des armes légères de petit calibre par la découpe à la machine à cisailles et le logiciel RSTS qui est une méthode éfficace et non polluante.
En effet, les crimes organisés, les bandes armées, les terroristes qui livrent une guerre asymétrique à nos États opèrent avec les armes légères acquises illicitement du fait du non respect des normes et standards régissant la gestion des stocks d’armes et munitions.
Pourtant « Reussir à mettre ces armes sous contrôle total, serait résoudre le problème de sécurité physique à 80% » a indiqué le Commissaire Divisionnaire-major de police, Léon Djibré Djokouehi, Président par intérim de la ComNat-ALPC. Il a traduit ses remerciements aux organisateurs de ce séminaire qui va fournir les éléments essentiels de contrôle des armes légères.
Pour Joseph Ahoba, représentant la Commission de la CEDEAO, bien que des progrès aient été enregistrés dans la lutte contre la prolifération des armes légères ces dernières années, ils doivent être consolidés pour éviter une recrudescence de ce fléau. Il a affirmé qu’à l’issue de ce séminaire, la CEDEAO prévoit la destruction régulière des armes obsolètes dans la zone. Car, dira t-il, si un pays parvient à contrôler ses armes et son voisin n’y parvient pas, les efforts seront vains.
Dans son allocution d’ouverture, Francis Ouattara, Conseiller technique représentant le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, a salué l’initiative de cette formation dans un contexte sécuritaire de plus en plus délicat dans l’espace sous-régional.
Il a rappelé que la Côte d’Ivoire qui mesure la dangerosité des armes légères de petit calibre lorsque celles-ci sont hors de contrôle, a fait de la destruction de ce type d’armes une réalité depuis 2012. Il a souhaité de fructueux travaux aux participants afin d’améliorer la sécurité des populations.
Laisser les armes dans la nature, c’est accroître la capacité opérationnelle des criminelles .
PR