Née en janvier dernier de la volonté des principaux acteurs du secteur Café-Cacao de travailler en synergie pour défendre leurs intérêts et ceux des planteurs, l’association des présidents de Conseil d’Administration de Coopératives café cacao de Côte d’Ivoire (ASPCACC), veut passer à la vitesse supérieure. Les membres de cette faîtière ont échangé, le 26 juin 2021 à Yamoussoukro sur l’investiture de leur bureau qui marquera la sortie officielle de l’association.
Ainsi donc, ils ont mis en place un comité d’organisation et un comité scientifique chargés de faire une proposition de date et un chronogramme qui seront validés et exécutés. «L’investiture du bureau devrait être un grand évènement. Nous attendons vos propositions pour nous attaquer véritablement aux problèmes auxquels la filière est confrontée», a réagi le président, Moussa Sawadogo, après la mise en place du comité d’organisation.
La rencontre de Yamoussoukro, troisième du genre, depuis la création de l’ASPCACC, a été l’occasion pour la quarantaine de Pca de coopératives présents de passer en revue quelques difficultés communes qui plombent l’épanouissement de leurs activités. Des difficultés qui se traduisent, entre autres, par la chute de la commercialisation du cacao, le faible volume octroyé aux coopératives qui se retrouvent avec des quantités de stocks bloqués dans les magasins. Aussi certains membres ont-ils déploré le fait que certaines coopératives soient privilégiées au détriment des autres alors qu’elles détiennent toutes, une certification.
Réagissant à toutes les préoccupations évoquées, Moussa Sawadogo a exhorté les uns et les autres à la résilience et à la patience. «Ce que nous traversons est une crise. Notre association devrait aider le gouvernement à travers le Conseil Café Cacao à nous aider. Si nous sommes unis, nous trouverons des solutions aux problèmes qui minent la filière», a-t-il conseillé. Le président de l’ASPCACC a, par ailleurs, dit sa foi en l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana dont le but est de garantir une économie cacaoyère prospère. Il a engagé ses membres à une production de qualité des fèves et à la lutte sans relâche contre le travail des enfants, l’un des combats que mène la Première dame, Mme Dominique Ouattara, en Côte d’Ivoire.
Sercom
Ainsi donc, ils ont mis en place un comité d’organisation et un comité scientifique chargés de faire une proposition de date et un chronogramme qui seront validés et exécutés. «L’investiture du bureau devrait être un grand évènement. Nous attendons vos propositions pour nous attaquer véritablement aux problèmes auxquels la filière est confrontée», a réagi le président, Moussa Sawadogo, après la mise en place du comité d’organisation.
La rencontre de Yamoussoukro, troisième du genre, depuis la création de l’ASPCACC, a été l’occasion pour la quarantaine de Pca de coopératives présents de passer en revue quelques difficultés communes qui plombent l’épanouissement de leurs activités. Des difficultés qui se traduisent, entre autres, par la chute de la commercialisation du cacao, le faible volume octroyé aux coopératives qui se retrouvent avec des quantités de stocks bloqués dans les magasins. Aussi certains membres ont-ils déploré le fait que certaines coopératives soient privilégiées au détriment des autres alors qu’elles détiennent toutes, une certification.
Réagissant à toutes les préoccupations évoquées, Moussa Sawadogo a exhorté les uns et les autres à la résilience et à la patience. «Ce que nous traversons est une crise. Notre association devrait aider le gouvernement à travers le Conseil Café Cacao à nous aider. Si nous sommes unis, nous trouverons des solutions aux problèmes qui minent la filière», a-t-il conseillé. Le président de l’ASPCACC a, par ailleurs, dit sa foi en l’Initiative Cacao Côte d’Ivoire-Ghana dont le but est de garantir une économie cacaoyère prospère. Il a engagé ses membres à une production de qualité des fèves et à la lutte sans relâche contre le travail des enfants, l’un des combats que mène la Première dame, Mme Dominique Ouattara, en Côte d’Ivoire.
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