Abidjan - Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a promis dimanche 18 juillet 2021, lors d’une conférence de presse, que ses services vont continuer de renforcer la surveillance du marché pour préserver le pouvoir d’achat des ménages.
« Nos équipes seront encore plus présentes dans les marchés sur toute l’étendue du territoire. (...) Les échanges avec les différents acteurs permettront de trouver des solutions durables qui n’obèrent pas le pouvoir d’achat des populations. En cas de nécessité, nous allons prendre des mesures d’encadrement des prix », a déclaré le ministre du Commerce et de l’Industrie.
Depuis quelques jours, l’on assiste à de nombreuses plaintes des populations relativement à ces hausses qui ont été relayées et amplifiées par les médias et les réseaux sociaux.
Face au cri de cœur de la population auquel le Gouvernement est sensible, le ministre Diarrassouba a rappelé que la détermination des prix relève du marché selon la loi de l’offre et de la demande et du jeu de la concurrence.
« La mission du Gouvernement est d’assurer la surveillance du marché et d’encadrer les prix en cas de dysfonctionnements du marché et de pratiques spéculatives avérées », a-t-il déclaré.
Détaillant le coût de certains produits de première nécessité, le ministre a souligné que le sac de riz de 22,5 kg rizière vendu à 12.900 FCFA en 2020 coûte aujourd’hui entre 12.425 FCFA et12.600 FCFA. Le bidon d’huile de 20 L qui coûtait 16.500 FCFA est vendu aujourd’hui (selon la marque) entre 17 975 et 18 000 FCFA pour Palme d’Or, entre 18 200 FCFA et 19 100 FCFA pour AYA et entre 20 200FCFA et 20 400 FCFA pour Dinor. Dans le District d’Abidjan, les prix maxima convenus avec les acteurs demeurent en vigueur, c’est-à-dire 2600 FCFA/kg pour la viande de bœuf avec os au détail et 2800 FCFA/kg pour la viande de bœuf sans os au détail.
tg/cmas
« Nos équipes seront encore plus présentes dans les marchés sur toute l’étendue du territoire. (...) Les échanges avec les différents acteurs permettront de trouver des solutions durables qui n’obèrent pas le pouvoir d’achat des populations. En cas de nécessité, nous allons prendre des mesures d’encadrement des prix », a déclaré le ministre du Commerce et de l’Industrie.
Depuis quelques jours, l’on assiste à de nombreuses plaintes des populations relativement à ces hausses qui ont été relayées et amplifiées par les médias et les réseaux sociaux.
Face au cri de cœur de la population auquel le Gouvernement est sensible, le ministre Diarrassouba a rappelé que la détermination des prix relève du marché selon la loi de l’offre et de la demande et du jeu de la concurrence.
« La mission du Gouvernement est d’assurer la surveillance du marché et d’encadrer les prix en cas de dysfonctionnements du marché et de pratiques spéculatives avérées », a-t-il déclaré.
Détaillant le coût de certains produits de première nécessité, le ministre a souligné que le sac de riz de 22,5 kg rizière vendu à 12.900 FCFA en 2020 coûte aujourd’hui entre 12.425 FCFA et12.600 FCFA. Le bidon d’huile de 20 L qui coûtait 16.500 FCFA est vendu aujourd’hui (selon la marque) entre 17 975 et 18 000 FCFA pour Palme d’Or, entre 18 200 FCFA et 19 100 FCFA pour AYA et entre 20 200FCFA et 20 400 FCFA pour Dinor. Dans le District d’Abidjan, les prix maxima convenus avec les acteurs demeurent en vigueur, c’est-à-dire 2600 FCFA/kg pour la viande de bœuf avec os au détail et 2800 FCFA/kg pour la viande de bœuf sans os au détail.
tg/cmas