Le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara aura un tête-à-tête avec l’ancien président Laurent Gbagbo le 27 juillet 2021 au Palais de la présidence de la République à Abidjan, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres.
"Il y a eu un contact, le président Alassane Ouattara recevra M. Gbagbo Laurent le mardi 27 juillet 2021 au Palais de la présidence de la République", a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres.
Interrogé de savoir si le gouvernement était favorable à un dialogue national comme demandé par l’opposition, M. Amadou Coulibaly a dit que "le dialogue n’a jamais été rompu. Il existe un dialogue gouvernemental".
Le dialogue gouvernemental, soulignera-t-il, a "commencé avec le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, il s’est poursuivi avec le Premier ministre Hamed Bakayoko et il se poursuit avec le Premier ministre Patrick Achi".
Cela a d’ailleurs permis le retour en Côte d’Ivoire de l’ancien président Laurent Gbagbo, acquitté le 31 mars 2021 par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité perpétrés lors des violences postélectorales de 2010-2011, a-t-il dit.
AP/ls/APA
"Il y a eu un contact, le président Alassane Ouattara recevra M. Gbagbo Laurent le mardi 27 juillet 2021 au Palais de la présidence de la République", a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres.
Interrogé de savoir si le gouvernement était favorable à un dialogue national comme demandé par l’opposition, M. Amadou Coulibaly a dit que "le dialogue n’a jamais été rompu. Il existe un dialogue gouvernemental".
Le dialogue gouvernemental, soulignera-t-il, a "commencé avec le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, il s’est poursuivi avec le Premier ministre Hamed Bakayoko et il se poursuit avec le Premier ministre Patrick Achi".
Cela a d’ailleurs permis le retour en Côte d’Ivoire de l’ancien président Laurent Gbagbo, acquitté le 31 mars 2021 par la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire de crimes contre l’humanité perpétrés lors des violences postélectorales de 2010-2011, a-t-il dit.
AP/ls/APA