Les grands hommes ne meurent jamais, dit-on.
Hamed BAKAYOKO, dit Hambak, tu étais un Grand donc tu n’es pas mort.
Tu es entré dans l’immensité de l’éternité
Tu vis dans chacun de ceux qui t’ont aimé et que tu as aimé.
Par-delà ta relation connue avec le monde politique
Au-delà de ta liaison affichée avec le monde culturel et artistique
Hambak tu avais un rapport fasciné, peu connu, avec le monde intellectuel
Tu aimais t’entourer de la jeune intelligentsia et aimais le cercle des intellectuels
Hambak tu étais adepte d’une chapelle politique
Mais, tu fréquentais et parlais aux fidèles des autres chapelles politiques
Tu incarnais l’ouverture et proclamais l’ouverture... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan