Un mois après le coup d'État militaire contre le président Bazoum, la délégation dépêchée par la Cédéao à Niamey, a rendu compte jeudi 24 août au président nigérian Bola Tinubu, qui les a écoutés attentivement. La seule ouverture que la junte serait prête à faire pour le moment est « la discussion sur beaucoup de points, mais pas du retour du président Mohamed Bazoum ».
Au sein de la Cédéao, comment ces déclarations sont-elles perçues ? Parmi les pays non-exclus des instances de la suite de l'article sur RFI