À la fermeture des portes de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture de Paris (SIA 2024), le dimanche 03 mars 2024, le ministre d’État, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani, s'est félicité des retombées positives dudit salon pour la Côte d’Ivoire.
« Le bilan du SIA 2024 est largement positif. Il y a eu une grande influence autour de notre stand. Dans le cadre de ce salon, la Côte d’Ivoire a été primée. Nous avons eu le prix du meilleur stand et des meilleures saveurs du territoire. Cela veut dire que les produits que nous avons envoyés ont connu du succès », s’est réjoui le ministre d’État, chef de la délégation ivoirienne.
L’un des objectifs de la participation de notre pays au SIA 2024, c'était de faire la promotion du potentiel agricole ivoirien et de nouer de nouveaux contacts d’affaires.
Selon le ministre Adjoumani, ce salon a permis de tisser effectivement de nouveaux contacts avec des partenaires qui sont prêts à venir investir en Côte d’Ivoire. « Nous avons échangé avec des partenaires techniques et financiers. Nous avons convaincu certains investisseurs à venir en Côte d’Ivoire au regard des atouts indéniables que nous leur offrons pour s’installer. Je veux parler des mesures prises par le gouvernement pour inciter les investisseurs à venir en Côte d’Ivoire », a-t-il fait savoir.
Pour relever le défi de la souveraineté alimentaire, le ministre d’État et ses équipes ont fait le choix de développer les chaînes de valeurs vivrières, notamment, de la semence à la transformation et à la commercialisation, en passant par la production et par la recherche. Le secteur semencier, gage d’une bonne productivité, était à l’ordre du jour de plusieurs rencontres.
Rappelons que le gouvernement ivoirien a fait de la souveraineté alimentaire une priorité en 2024. Les opportunités d’investissement pour atteindre cet objectif ont donc été présentées au cours des différentes rencontres organisées, notamment lors de la journée ivoirienne qui avait pour thème « Développement des productions vivrières et souveraineté alimentaire : défis et perspectives ».