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International Publié le vendredi 10 janvier 2025 | AIP

Nicolas Sarkozy dénonce un complot dans le procès du financement libyen présumé

© AIP Par DR
Alassane Ouattara à l`Elysée: la Côte d`Ivoire et la France signent un nouveau traité de Défense
Jeudi 26 janvier 2012. Paris (France). Palais de l`Elysée. A la faveur de la visite d`Etat qu`il effectue en France, le chef de l`Etat ivoirien, SEM Alassane Ouattara et son homologue français, SEM Nicolas Sarkozy (photo) signent un nouveau traité de défense entre leurs deux pays

Abidjan-L'ancien président français, Nicolas Sarkozy, a fermement rejeté jeudi 09 janvier 2025 à Paris, tout lien avec le financement illégal présumé de sa campagne présidentielle de 2007 par le régime de Mouammar Kadhafi, rapportent des médias internationaux.


Lors du procès, Sarkozy a accusé des « menteurs et escrocs » de participer à un complot pour ternir sa réputation. « Vous ne trouverez jamais un euro libyen, un centime libyen dans ma campagne », a martelé Sarkozy, qui dit ne vouloir que la vérité et le droit.


Jugé depuis lundi 6 janvier et jusqu'au 10 avril pour corruption, recel de détournement de fonds publics, financement illégal de campagne et association de malfaiteurs, l'ancien président Nicolas Sarkozy, âgé de 69 ans, encourt 10 ans de prison et 375.000 euros d'amende, ainsi qu'une privation des droits civiques (donc une inéligibilité) allant jusqu'à cinq ans.


Ce procès, qui pourrait profondément affecter l'héritage politique de Sarkozy est basé sur un document précisément une prétendue note des services secrets libyens indiquant un financement de 50 millions d'euros, que l’accusé déclare étant faux.


L’ancien président français a également souligné ses efforts pour libérer cinq infirmières bulgares et un médecin palestinien en 2007, alors qu'il négociait avec Kadhafi pour obtenir leur libération.


La polémique autour du financement présumé de sa campagne a éclaté en 2011, peu après ses déclarations sur le départ de Kadhafi. Ziad Takieddine, accusé d'avoir agi comme intermédiaire, s'est réfugié au Liban et n'a pas assisté au procès.


Le procès concerne également 11 autres prévenus, dont trois anciens ministres. Sarkozy reste une figure centrale dans cette affaire qui pourrait avoir des conséquences significatives sur son avenir politique.


eaa/cmas

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