C’est une tradition, la libation du doyen du village d’Anoumabo, Alessa Bogui, pour honorer les ancêtres ouvre le Femua. Tisser le lien entre les générations, aller chercher le respect, c'est une nécessité pour Salif Traoré, Asalfo, le commissaire général du Femua.
« Plus qu'un festival, il est aujourd'hui un véritable catalyseur de développement social, économique, culturel et touristique pour notre chère Côte d'Ivoire », estime-t-il.
Au Femua, la musique sert aussi à retisser des liens diplomatiques. Pour cette 17ᵉ édition, la Guinée est le pays invité d’honneur.
Une délégation de 300 personnes, politiques, acteurs économiques, artistes, menée par le ministre de la Culture, Moussa Moïse Sylla a... suite de l'article sur RFI