L’institution a permis à l’Etat d’alléger les conditions de remboursement de sa dette, en contrepartie d’investissements dans des infrastructures scolaires. Un modèle qu’elle souhaiterait reproduire dans d’autres pays émergents.
S’acquitter de ses créances sans délaisser les investissements dans les infrastructures : un défi auquel nombre de pays en développement sont confrontés. Pour leur offrir un peu de marge, la Banque mondiale a annoncé fin avril, lors de ses traditionnelles réunions de printemps, son souhait de généraliser l’échange « dette contre développement ». Le principe : alléger les conditions de remboursement d’un Etat afin qu’il réinvestisse une partie des économies réalisées dans un secteur... suite de l'article sur LeMonde.fr