Loïc Deleke, expert reconnu en cybersécurité et IA, appelle à une prise de conscience en reconnaissant que ''L’IA est un outil puissant, mais elle ne peut remplacer l’intelligence humaine''.
Selon lui, alors que l’intelligence artificielle s’impose dans tous les secteurs notamment la santé, la finance et l'éducation, l'industrie des voix s’élèvent pour rappeler l’importance d’un encadrement éthique et humain.
Présente dans nos smartphones, les systèmes de santé ou encore les institutions bancaires, l’intelligence artificielle (IA) transforme en profondeur notre quotidien. Face à cette révolution numérique, dans son étude récemment publiée en Mai 2025, ''L’intelligence humaine aux commandes de l’intelligence artificielle : la clé d’un avenir maîtrisé '', l’auteur explore les conditions d’une cohabitation équilibrée entre performance algorithmique et discernement humain.
En 30 pages claires et percutantes, il démontre pourquoi l’humain doit rester le pilote de cette technologie, et non en devenir l’assisté.
Loïc Deleke va aussi plus loin dans son engagement avec la publication d’un manuel sortie récemment ''L’intelligence Artificielle dans les Organisations''. Ce document de 60 pages, s’adresse à toutes les parties prenantes notamment les entreprises, les administrations, les citoyens, désireuses de comprendre les usages concrets de l’IA, ses impacts sur les métiers, et les enjeux qu’elle soulève.
Fort de plusieurs années d’expérience, Loïc Deleke accompagne des structures privées et publiques dans la création de solutions innovantes. Il œuvre également en Côte d’Ivoire, où la transformation numérique est une priorité stratégique. À travers ses publications, ses collaborations et ses prises de parole, il milite pour une gouvernance de l’IA centrée sur l’humain, la transparence et la durabilité.
L’auteur prône un équilibre entre l’efficacité de l’intelligence artificielle et le discernement humain. L’objectif selon lui, est d'éviter une dépendance aveugle aux algorithmes et prévenir les dérives, comme la discrimination algorithmique ou la perte de responsabilité humaine.
Il a soutenu dans plusieurs interventions que '' Ce n’est pas à l’intelligence artificielle de décider pour nous, mais à nous de décider de ce qu’elle peut faire pour nous''.
EA