Les effets du séjour d’Hillary Clinton en Côte d’Ivoire sont toujours au cœur de l’actualité du pays.
Un séjour bref mais aux retombées énormes ! Les avantages que la Côte d’Ivoire peut tirer de la visite de la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, ont fait l’objet d’échanges entre Bruno Koné, et la presse, hier, au cours du point-presse qui a suivi le conseil des ministres. « Rien que de savoir qu’elle est venue en Côte d’Ivoire, qu’elle a passé la nuit en Côte d’Ivoire, fait que l’indice de sécurité du pays gagne quelques points », a soutenu le porte-parole du gouvernement. Selon lui, les échanges entre Hillary Clinton et le président de la République ont “naturellement’’ porté sur des sujets d’économie, notamment du Millenium challenge corporation (Mcc). « Le Mcc est une possibilité que les Etats-Unis offrent aux pays en voie de développement. Nous sommes en train de travailler pour obtenir cet avantage », a ajouté le ministre des Postes et des Techniques de l’information et de la communication. Les relations entre le pouvoir et son opposition ont également été abordées. À ce sujet, Bruno Koné a indiqué qu’il fallait éviter la confusion entre le rôle de l’opposition et la situation de certains de ses acteurs. « Aujourd’hui, on admet que l’opposition joue son rôle. Personne ne peut contester le fait que le Front populaire ivoirien (Fpi) anime des meetings, s’exprime dans les médias. Les journaux de l’opposition paraissent tous les jours. La main du président de la République, du gouvernement a toujours été tendue vers l’opposition pour qu’elle participe à l’activité politique de notre pays. Mais, il se trouve que certains acteurs de l’opposition ont effectivement des problèmes avec la justice. C’est une situation qui est totalement différente », a-t-il précisé. Sur le conseil des ministres, Bruno Koné a annoncé plusieurs décisions, notamment la création de l’Inspection générale de la justice, de l’Ecole supérieure africaines des Tic (Esatic). Il a aussi révélé que le bilan de la gratuité des soins est positif avec une baisse du taux de décès de 12%.
Anne-Marie Eba
Un séjour bref mais aux retombées énormes ! Les avantages que la Côte d’Ivoire peut tirer de la visite de la secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, ont fait l’objet d’échanges entre Bruno Koné, et la presse, hier, au cours du point-presse qui a suivi le conseil des ministres. « Rien que de savoir qu’elle est venue en Côte d’Ivoire, qu’elle a passé la nuit en Côte d’Ivoire, fait que l’indice de sécurité du pays gagne quelques points », a soutenu le porte-parole du gouvernement. Selon lui, les échanges entre Hillary Clinton et le président de la République ont “naturellement’’ porté sur des sujets d’économie, notamment du Millenium challenge corporation (Mcc). « Le Mcc est une possibilité que les Etats-Unis offrent aux pays en voie de développement. Nous sommes en train de travailler pour obtenir cet avantage », a ajouté le ministre des Postes et des Techniques de l’information et de la communication. Les relations entre le pouvoir et son opposition ont également été abordées. À ce sujet, Bruno Koné a indiqué qu’il fallait éviter la confusion entre le rôle de l’opposition et la situation de certains de ses acteurs. « Aujourd’hui, on admet que l’opposition joue son rôle. Personne ne peut contester le fait que le Front populaire ivoirien (Fpi) anime des meetings, s’exprime dans les médias. Les journaux de l’opposition paraissent tous les jours. La main du président de la République, du gouvernement a toujours été tendue vers l’opposition pour qu’elle participe à l’activité politique de notre pays. Mais, il se trouve que certains acteurs de l’opposition ont effectivement des problèmes avec la justice. C’est une situation qui est totalement différente », a-t-il précisé. Sur le conseil des ministres, Bruno Koné a annoncé plusieurs décisions, notamment la création de l’Inspection générale de la justice, de l’Ecole supérieure africaines des Tic (Esatic). Il a aussi révélé que le bilan de la gratuité des soins est positif avec une baisse du taux de décès de 12%.
Anne-Marie Eba
