Le Premier congrès ordinaire de l’Union des enseignants de l’Union pour la démocratie et la paix (UE-UDPCI), s’est ouvert, samedi, au Centre culturel Jacques Aka de Bouaké (379 Km au nord d’Abidjan), en présence du leader de ce parti, Albert Toikeusse Mabri.
Quelque 600 participants, venus des différentes régions du pays prennent part à ce congrès dont les travaux se déroulent autour du thème, ‘'construire une UDPCI forte, avec les enseignants mobilisés pour bâtir une nation forte''.
Pendant deux jours, les congressistes regroupés en plusieurs commissions plancheront sur l'amendement de quelques articles de leur règlement intérieur et sur l'adoption d'une stratégie de mobilisation du secteur éducation-formation.
‘'Nous sommes au premier congrès de l'UE-UDPCI, un organe spécialisé, duquel nous attendons beaucoup'', a déclaré le président de l'UDPCI, Albert Toikeuse Mabri. C'est pourquoi a-t-il poursuivi, ‘' je voudrais inviter l'ensemble des animateurs actuels ou futurs de cet organe à être de véritables acteurs de la redynamisation de notre parti''.
Dans la foulée, il a démontré la place d'''eveilleur de conscience'' qu'occupent les enseignants dans les villes et villages du pays. ‘'C'est pour cela qu'aucun parti politique ne peut se passer de vous et aucun parti ne peut réussir sans un mouvement éducatif en soutien'' a-t-il fait observer.
M. Mabri qui fonde beaucoup d'espoir sur les résolutions qui sortiront des travaux de ce premier congrès, a invité les participants à pratiquer ‘'le bon ton'' car pour lui, il s'agit d'un congrès électif et non d'un congrès pour affaiblir le parti avec des querelles inutiles.
S'exprimant sur l'actualité politique, le président de l'UDPCI a réitéré son vœu pour une candidature unique du président Alassane Ouattara au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP). Il a par ailleurs, exhorté les enseignants de l'UDPCI à se présenter massivement aux prochaines élections locales.
La deuxième journée de ce congrès sera consacrée essentiellement à l'élection du tout premier président de cet organe spécialisé de l'UDPCI. Les congressistes auront à choisir entre Abou Fofana, Mamadou Moussa Diallo et Jean Luc Kouadio Amany, les trois candidats en lice pour ce poste.
Quelque 600 participants, venus des différentes régions du pays prennent part à ce congrès dont les travaux se déroulent autour du thème, ‘'construire une UDPCI forte, avec les enseignants mobilisés pour bâtir une nation forte''.
Pendant deux jours, les congressistes regroupés en plusieurs commissions plancheront sur l'amendement de quelques articles de leur règlement intérieur et sur l'adoption d'une stratégie de mobilisation du secteur éducation-formation.
‘'Nous sommes au premier congrès de l'UE-UDPCI, un organe spécialisé, duquel nous attendons beaucoup'', a déclaré le président de l'UDPCI, Albert Toikeuse Mabri. C'est pourquoi a-t-il poursuivi, ‘' je voudrais inviter l'ensemble des animateurs actuels ou futurs de cet organe à être de véritables acteurs de la redynamisation de notre parti''.
Dans la foulée, il a démontré la place d'''eveilleur de conscience'' qu'occupent les enseignants dans les villes et villages du pays. ‘'C'est pour cela qu'aucun parti politique ne peut se passer de vous et aucun parti ne peut réussir sans un mouvement éducatif en soutien'' a-t-il fait observer.
M. Mabri qui fonde beaucoup d'espoir sur les résolutions qui sortiront des travaux de ce premier congrès, a invité les participants à pratiquer ‘'le bon ton'' car pour lui, il s'agit d'un congrès électif et non d'un congrès pour affaiblir le parti avec des querelles inutiles.
S'exprimant sur l'actualité politique, le président de l'UDPCI a réitéré son vœu pour une candidature unique du président Alassane Ouattara au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP). Il a par ailleurs, exhorté les enseignants de l'UDPCI à se présenter massivement aux prochaines élections locales.
La deuxième journée de ce congrès sera consacrée essentiellement à l'élection du tout premier président de cet organe spécialisé de l'UDPCI. Les congressistes auront à choisir entre Abou Fofana, Mamadou Moussa Diallo et Jean Luc Kouadio Amany, les trois candidats en lice pour ce poste.
