Il n’est pas congolais comme les consonances lingala de son nom pourraient donner à le penser. De son vrai nom Bially Franck Mickaël, Yabongo Lova est ivoirien. Il est la révélation zouglou de cette année avec un album qui a eu les faveurs des mélomanes ivoiriens et même au-delà. Rencontre avec le nouveau rossignol de la musique zouglou.
3 questions à Yabongo Lova
‘’J’ai partagé des scènes avec Soum Bill, Ferre Gola et bien d’autres’’
Comment tu expliques que l’album connaisse le succès seulement deux ans après qu’il est sorti ?
D’abord, mon style est un peu particulier. Bien sûr, je fais du zouglou mais c’est un peu un mélange de coupé-décalé. Les mélomanes n’avaient pas encore entendu cela et cela déroute quelque peu forcément. Ensuite, mon producteur qui n’y croyait pas vraiment a abandonné l’album à sa sortie. Je faisais du mieux que je pouvais pour faire connaître le produit un peu partout. Aujourd’hui ça va, le producteur est revenu. On va dire c’est le temps de Dieu.
Quels sont les thèmes que tu abordes généralement ?
Je parle de tout. Je suis inspiré par tout ce que nous vivons au quotidien. Je chante la mère, je parle de ma vie… Et ce que je chante est peut-être arrivé à quelqu’un d’autre. C’est pourquoi les gens se retrouvent dans ce que je dis. Il y a beaucoup de paroles sensées, des proverbes. Ce sont toutes ces choses qui font que les gens aiment cet album.
Quel est l’un des points de satisfactions en ce qui concerne cet album
Je dois dire merci à Dieu. Avec cet album, j’ai fait pas mal de pays en Afrique et en Europe dont la France, l’Italie, la Suisse, la Belgique etc. J’ai eu tellement confiance en cet album qu’il m’a envoyé très loin. J’ai partagé des scènes avec Soum Bill, Ferre Gola et bien d’autres. Tu vois que ce sont des artistes de renom. J’ai fait le Palais de la culture avec le festival des meilleurs orchestres. Et tout cela, avec ce premier album. Je dis merci à Dieu.
Ange Kader
3 questions à Yabongo Lova
‘’J’ai partagé des scènes avec Soum Bill, Ferre Gola et bien d’autres’’
Comment tu expliques que l’album connaisse le succès seulement deux ans après qu’il est sorti ?
D’abord, mon style est un peu particulier. Bien sûr, je fais du zouglou mais c’est un peu un mélange de coupé-décalé. Les mélomanes n’avaient pas encore entendu cela et cela déroute quelque peu forcément. Ensuite, mon producteur qui n’y croyait pas vraiment a abandonné l’album à sa sortie. Je faisais du mieux que je pouvais pour faire connaître le produit un peu partout. Aujourd’hui ça va, le producteur est revenu. On va dire c’est le temps de Dieu.
Quels sont les thèmes que tu abordes généralement ?
Je parle de tout. Je suis inspiré par tout ce que nous vivons au quotidien. Je chante la mère, je parle de ma vie… Et ce que je chante est peut-être arrivé à quelqu’un d’autre. C’est pourquoi les gens se retrouvent dans ce que je dis. Il y a beaucoup de paroles sensées, des proverbes. Ce sont toutes ces choses qui font que les gens aiment cet album.
Quel est l’un des points de satisfactions en ce qui concerne cet album
Je dois dire merci à Dieu. Avec cet album, j’ai fait pas mal de pays en Afrique et en Europe dont la France, l’Italie, la Suisse, la Belgique etc. J’ai eu tellement confiance en cet album qu’il m’a envoyé très loin. J’ai partagé des scènes avec Soum Bill, Ferre Gola et bien d’autres. Tu vois que ce sont des artistes de renom. J’ai fait le Palais de la culture avec le festival des meilleurs orchestres. Et tout cela, avec ce premier album. Je dis merci à Dieu.
Ange Kader
