Kong - L’ONG N’Tabet a organisé une session de formation des associations et leaders d’opinions de cinq villages du département de Kong (Nord), riverains du Parc National de la Comoé, en apiculture.
Selon le président de ladite ONG, Zougou N’Guessan Léon, cette formation, qui a eu lieu de lundi à mardi au foyer polyvalent de Kong, répond à l’objet de création d’activités génératrices de revenus (AGR) en faveur des populations tout en les amenant à changer d’attitu des vis-à-vis du Parc National de Comoé qui est aussi un patrimoine mondial de l’UNESCO.
L’extraction traditionnelle et archaïque du miel, a indiqué Zougou, provoque parfois des feux de brousse qui ravagent des centaines d’hectares des forêts. La maitrise des techniques de production et d’extraction de cette denrée est un atout considérable pour la population paysanne d’où l’opportunité de cette formation en vue de leur permettra d’obtenir des revenus complémentaires.
« Je suis heureux d’accueillir dans mon village, un projet aussi important qui, désormais, contribuera effectivement au développement et l’épanouissement des populations », a dit Ouattara Bakomi, chef de village de Tiéméné, par ailleurs participant à cette formation.
Ce projet est cofinancé par l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR), le Programme des petites initiatives (PPI) et le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM), a-t-on appris.
(AIP)
ok/fmo/akn/tm
Selon le président de ladite ONG, Zougou N’Guessan Léon, cette formation, qui a eu lieu de lundi à mardi au foyer polyvalent de Kong, répond à l’objet de création d’activités génératrices de revenus (AGR) en faveur des populations tout en les amenant à changer d’attitu des vis-à-vis du Parc National de Comoé qui est aussi un patrimoine mondial de l’UNESCO.
L’extraction traditionnelle et archaïque du miel, a indiqué Zougou, provoque parfois des feux de brousse qui ravagent des centaines d’hectares des forêts. La maitrise des techniques de production et d’extraction de cette denrée est un atout considérable pour la population paysanne d’où l’opportunité de cette formation en vue de leur permettra d’obtenir des revenus complémentaires.
« Je suis heureux d’accueillir dans mon village, un projet aussi important qui, désormais, contribuera effectivement au développement et l’épanouissement des populations », a dit Ouattara Bakomi, chef de village de Tiéméné, par ailleurs participant à cette formation.
Ce projet est cofinancé par l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR), le Programme des petites initiatives (PPI) et le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM), a-t-on appris.
(AIP)
ok/fmo/akn/tm
