Abidjan (Côte d'Ivoire) - Les achats de cacao et de café enregistrent une baisse qui se situe entre 12 et 13% au premier trimestre 2016, a annoncé, mercredi, le gouvernement ivoirien à l’issue d’un Conseil de ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.
‘’De janvier à mars 2016, le cumul des achats de cacao s’est établi à 362 000 tonnes contre 414 000 tonnes en 2015 sur la même période. Il y a donc une baisse de 12%. Les exportations de cacao se situent à peu près au même niveau que l’an dernier à 677 000 tonnes’’, a déclare le
porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné lors d’une conférence de presse.
Poursuivant, il a indiqué que ‘’le cumul des achats de café déclarés se chiffre à 96 000 tonnes contre 110 000 tonnes en 2015, soit là aussi une baisse de 13%’’.
‘’Les exportations de café, ici par contre se sont élevées à 23 000 tonnes contre 19000 tonnes à la même période de 2015. Ce qui représente une hausse de 20%’’, a ajouté le porte-parole.
Le prix bord champ garanti du kg de cacao et de café a évolué positivement au cours des trois dernières campagnes, a également souligné Bruno Nabagné Koné. Il est passé de 750 FCFA en 2012 et 2013, à 850 FCFA en 2014 et 2015 puis à 1000 FCFA le kg depuis le 1er octobre 2015.
Celui du café a connu également une hausse régulière passant de 620 FCFA en 2013 à 650 en 2015, puis 670 FCFA en 2016. En faisant le calcul sur l’augmentation de prix sur la période, ‘’nous arrivons à un montant supplémentaire payé aux paysans de 700 milliards de FCFA.
C’est dire qu’en quelques années, le revenu des paysans s’est accru de plus de 700 milliards de FCFA’’, s’est félicité M. Koné par ailleurs ministre de l’Economie numérique et de la Poste.
Au 31 mars 2016, les redevances prélevées au titre des investissements s’établissent à 24 milliards de FCFA contre 18 milliards de FCFA à la même période de la campagne précédente, soit une hausse de 32%.
Au titre des investissements, le Conseil café cacao a décaissé 13 milliards de FCFA. ‘’Le Conseil (de ministres) note une évolution constante des prix du kg de cacao et de café, exhorte le ministre de
l’agriculture à poursuivre la réforme de la filière’’, a conclu Bruno Nabagné Koné.
LS/hs
‘’De janvier à mars 2016, le cumul des achats de cacao s’est établi à 362 000 tonnes contre 414 000 tonnes en 2015 sur la même période. Il y a donc une baisse de 12%. Les exportations de cacao se situent à peu près au même niveau que l’an dernier à 677 000 tonnes’’, a déclare le
porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné lors d’une conférence de presse.
Poursuivant, il a indiqué que ‘’le cumul des achats de café déclarés se chiffre à 96 000 tonnes contre 110 000 tonnes en 2015, soit là aussi une baisse de 13%’’.
‘’Les exportations de café, ici par contre se sont élevées à 23 000 tonnes contre 19000 tonnes à la même période de 2015. Ce qui représente une hausse de 20%’’, a ajouté le porte-parole.
Le prix bord champ garanti du kg de cacao et de café a évolué positivement au cours des trois dernières campagnes, a également souligné Bruno Nabagné Koné. Il est passé de 750 FCFA en 2012 et 2013, à 850 FCFA en 2014 et 2015 puis à 1000 FCFA le kg depuis le 1er octobre 2015.
Celui du café a connu également une hausse régulière passant de 620 FCFA en 2013 à 650 en 2015, puis 670 FCFA en 2016. En faisant le calcul sur l’augmentation de prix sur la période, ‘’nous arrivons à un montant supplémentaire payé aux paysans de 700 milliards de FCFA.
C’est dire qu’en quelques années, le revenu des paysans s’est accru de plus de 700 milliards de FCFA’’, s’est félicité M. Koné par ailleurs ministre de l’Economie numérique et de la Poste.
Au 31 mars 2016, les redevances prélevées au titre des investissements s’établissent à 24 milliards de FCFA contre 18 milliards de FCFA à la même période de la campagne précédente, soit une hausse de 32%.
Au titre des investissements, le Conseil café cacao a décaissé 13 milliards de FCFA. ‘’Le Conseil (de ministres) note une évolution constante des prix du kg de cacao et de café, exhorte le ministre de
l’agriculture à poursuivre la réforme de la filière’’, a conclu Bruno Nabagné Koné.
LS/hs
