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Société Publié le lundi 6 mars 2017 | L’intelligent d’Abidjan

Salon international de l’agriculture à Paris: Dr Adama Coulibaly présente le CICC à des investisseurs

© L’intelligent d’Abidjan Par DR
Ouverture du salon international de l’agriculture (SIA) 2016 en France
« Agriculture et alimentation citoyenne ». C’est le thème du salon international de l’agriculture (Sia) pour l’édition 2016 en France. Ce salon qui a ouvert ses portes le samedi 27 février pour les refermer le 6 mars pour ambition de trouver des solutions les meilleures pour accroitre le rendement agricole dans le contexte de changement climatique.
En marge du Salon international de l’agriculture qui se tient à Paris, Porte de Versailles, depuis le 25 février 2017, le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde était face à des investisseurs, le jeudi 2 mars 2017 lors d’une journée promotionnelle sur le stand de la Côte d’Ivoire. Lors de cette journée, Dr Adama Coulibaly, directeur général de l’autorité en charge de la régulation de la filière coton et anacarde a présenté la vision, les objectifs, les organes, les membres, l’organisation et le fonctionnement pratique du Conseil International Consultatif du Cajou (CICC), créé le 18 novembre 2016 et dont le siège se trouve à Abidjan, la capitale économique et administrative de la Côte d’Ivoire. Le CICC est l’organe chargé de la gestion macroéconomique du cajou au plan mondial. Cette organisation internationale chargée de promouvoir le développement durable du cajou dans le monde a été créée lors de la 2ème édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA), à Abidjan. Dix pays producteurs ont participé à l’élaboration des textes fondateurs, à savoir le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée Bissau, la Guinée, le Sénégal, la Tanzanie et le Togo. En tant que premier producteur mondial de noix de cajou, Dr Coulibaly a expliqué à ses invités que la Côte d’Ivoire doit maintenir cette place de leader, grâce à une meilleure productivité et en relevant le défi de la transformation locale du cajou. «Filière jeune, l’anacarde a été introduit en Côte d’Ivoire pour lutter contre la désertification. Ce produit écologique est devenu économique, en raison des opportunités qu’il offre en termes économique et social», a souligné Dr Coulibaly. Il a ajouté que pour cadrer avec l’ambition de le relever le défi de la transformation, des conventions ont été signées, notamment avec l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan et l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB).

O. D avec sercom
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