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Quel est le sort de tous ceux qui n’auraient pas vu leurs noms sur les listes de remboursements des souscripteurs des entreprises d’agro-business ? Drissa Koné, administrateur séquestre s’est voulu rassurant face aux journalistes ce jeudi 1er juin à l’immeuble Sciam au Plateau : « d’ici la semaine prochaine, les différentes plaintes et réclamations seront mises en ligne ». Il a fait savoir que la prise en compte des plaintes et réclamations était dépendante de l’état d’avancement du processus principal de payement des souscripteurs. « En principe quand vous partez sur le site agrobusiness.ci, il y a des fenêtres où c’est écrit ‘’Plaintes et Réclamations’’, et même il y a une fenêtre où c’est écrit ‘’Retardataires’’ qui doivent faire l’objet de traitement. A la date d’aujourd’hui, on est donc en train d’actualiser la plateforme pour que toutes les plaintes et réclamations soient disponibles dans nos cellules de traitement puisqu’il faut les récupérer sur le site (internet) pour les exploiter », a-t-il tranquillisé. Ajoutant que « les premières plaintes sur le site qui concernaient les premières phases ont été traitées mais par contre on ne les a pas encore mises sur le site parce que le processus principal n’avançait pas. Donc on attend de le faire avancer avant de les intégrer. Je pense que cette semaine ou au plus tard la semaine prochaine, les premières plaintes que nous avons traitées seront mises en ligne ».
L’administrateur séquestre dans le dossier Agro-business faisant le point des remboursements des souscripteurs a indiqué que depuis le mardi 9 mai 2017, les principaux obstacles juridiques au payement des souscripteurs soulevés par des banques ont été levés et que toutes les dispositions sont mises en place avec celles-ci afin que les requérants rentrent en possession de la somme à laquelle ils ont droit. « Je veux rassurer les uns et les autres que tout sera mis en place pour aller au terme du processus», a conclu Drissa Koné. Nommé le 14 mars dernier par décision judiciaire, l’administrateur séquestre a confié qu’il a mené son action dans le but de satisfaire au paiement effectif des souscripteurs. Même si cette tâche séquencée en quatre phases a pu souffrir de quelques difficultés.
Ouattara Kouakou, porte-parole des souscripteurs, présent à la rencontre a approuvé les propos de son prédécesseur. Par ailleurs il a fait savoir que les souscripteurs entendent porter plainte contre les entreprises d’agro-business pour entrer en possession de l’intégralité de leur investissement. « Nous entendons de nous pourvoir en partie plaignante et de voir comment les entreprises auprès desquelles nous avons souscrit pourraient nous donner le reliquat de notre investissement. On ne parlerait peut-être pas des RSI (Retour sur investissement) mais au moins du capital investi», a-t-il prévenu.
D.Tagro
L’administrateur séquestre dans le dossier Agro-business faisant le point des remboursements des souscripteurs a indiqué que depuis le mardi 9 mai 2017, les principaux obstacles juridiques au payement des souscripteurs soulevés par des banques ont été levés et que toutes les dispositions sont mises en place avec celles-ci afin que les requérants rentrent en possession de la somme à laquelle ils ont droit. « Je veux rassurer les uns et les autres que tout sera mis en place pour aller au terme du processus», a conclu Drissa Koné. Nommé le 14 mars dernier par décision judiciaire, l’administrateur séquestre a confié qu’il a mené son action dans le but de satisfaire au paiement effectif des souscripteurs. Même si cette tâche séquencée en quatre phases a pu souffrir de quelques difficultés.
Ouattara Kouakou, porte-parole des souscripteurs, présent à la rencontre a approuvé les propos de son prédécesseur. Par ailleurs il a fait savoir que les souscripteurs entendent porter plainte contre les entreprises d’agro-business pour entrer en possession de l’intégralité de leur investissement. « Nous entendons de nous pourvoir en partie plaignante et de voir comment les entreprises auprès desquelles nous avons souscrit pourraient nous donner le reliquat de notre investissement. On ne parlerait peut-être pas des RSI (Retour sur investissement) mais au moins du capital investi», a-t-il prévenu.
D.Tagro
