Yamoussoukro - Le président du Conseil régional du Bélier, Jeannot Ahoussou-Kouadio, a décidé d’initier et d’inscrire à son programme des projets novateurs pour réduire le taux de pauvreté estimé dans la région à 61,8%, supérieur à la moyenne nationale de 46,3%.
Lors de la 2ème session ordinaire du Conseil, vendredi dans la sous-préfecture de Tié-N’Diékro, il a révélé que le taux de chômage est de 7,7% en milieu urbain et 3% en milieu rural, soit une moyenne régionale de 5,4% contre 5,3% au niveau national, avec un indice de sécurité alimentaire de 09% contre 12,8 au plan national.
« Ces chiffres nous interpellent, surtout celui du niveau encore élevé de la pauvreté de nos populations », a fait savoir Ahoussou-Kouadio. Il a informé qu’au plan local, le Conseil a déjà mis en place un fonds de 25 millions FCFA sur 60 millions FCFA attendus, pour son adhésion au programme d’amorçage de petites et moyennes entreprises de l’Institut ivoirien de l’entreprise (INIE) qui vise cinq projets, dont celui du développement de la culture hors-sol de tomate en cours et celui de la pisciculture de tilapia en démarrage.
Le président du Conseil régional du Bélier a énuméré, au nombre des projets novateurs locaux, la signature d’une convention avec le District autonome d’Abidjan pour booster la culture du manioc, avec 50 millions FCFA déjà engagés depuis 2016 dont 30 millions FCFA dudit District, la Plateforme des services de la région (PFS-Bélier) créée en 2014 pour orienter, former et faciliter l’insertion des jeunes en quête d’emplois dans des activités génératrices d’emplois.
« Le Conseil a déjà contribué à hauteur de 22 millions FCFA pour soutenir sa mise en place, 2137 jeunes ont déjà bénéficié des service de la PFS-Bélier », fait savoir le président.
Au plan national, Ahoussou-Kouadio a cité le projet de pôle agro-industriel de la région du Bélier avec la Banque africaine de développement, le Projet emploi jeune et développement des compétence (PEJEDEC) et l’adhésion au plan international du conseil régional à deux organisations internationales de promotion de la coopération décentralisées à savoir l’Association internationale des régions francophones (AIRF) et l’Organisation des régions unies/Forum global d’associations des régions (ORU/FOGAR).
nam/cmas
Lors de la 2ème session ordinaire du Conseil, vendredi dans la sous-préfecture de Tié-N’Diékro, il a révélé que le taux de chômage est de 7,7% en milieu urbain et 3% en milieu rural, soit une moyenne régionale de 5,4% contre 5,3% au niveau national, avec un indice de sécurité alimentaire de 09% contre 12,8 au plan national.
« Ces chiffres nous interpellent, surtout celui du niveau encore élevé de la pauvreté de nos populations », a fait savoir Ahoussou-Kouadio. Il a informé qu’au plan local, le Conseil a déjà mis en place un fonds de 25 millions FCFA sur 60 millions FCFA attendus, pour son adhésion au programme d’amorçage de petites et moyennes entreprises de l’Institut ivoirien de l’entreprise (INIE) qui vise cinq projets, dont celui du développement de la culture hors-sol de tomate en cours et celui de la pisciculture de tilapia en démarrage.
Le président du Conseil régional du Bélier a énuméré, au nombre des projets novateurs locaux, la signature d’une convention avec le District autonome d’Abidjan pour booster la culture du manioc, avec 50 millions FCFA déjà engagés depuis 2016 dont 30 millions FCFA dudit District, la Plateforme des services de la région (PFS-Bélier) créée en 2014 pour orienter, former et faciliter l’insertion des jeunes en quête d’emplois dans des activités génératrices d’emplois.
« Le Conseil a déjà contribué à hauteur de 22 millions FCFA pour soutenir sa mise en place, 2137 jeunes ont déjà bénéficié des service de la PFS-Bélier », fait savoir le président.
Au plan national, Ahoussou-Kouadio a cité le projet de pôle agro-industriel de la région du Bélier avec la Banque africaine de développement, le Projet emploi jeune et développement des compétence (PEJEDEC) et l’adhésion au plan international du conseil régional à deux organisations internationales de promotion de la coopération décentralisées à savoir l’Association internationale des régions francophones (AIRF) et l’Organisation des régions unies/Forum global d’associations des régions (ORU/FOGAR).
nam/cmas
