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Société Publié le lundi 2 octobre 2017 | L’intelligent d’Abidjan

Zio Moussa aux correspondants de presse : « On peut dire et tout écrire. Mais sachons tout dire et tout écrire »

© L’intelligent d’Abidjan Par DR
Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED)
L’union nationale des correspondants de presse de Côte d’Ivoire (UNACOPCI) a tenu le samedi, 30 septembre 2017 à Bouaké, sa première Assemblée générale constitutive et élective. Ladji Abou Sanogo, correspondant régional du quotidien Soir-Info a été élu président.

Juste après la cérémonie d’ouverture présidée par Koné Vakaba, secrétaire général 1 de la préfecture de région de Gkêkê, représentant le préfet Aka Konin, il y a eu un atelier sur le thème : « Le correspondant de presse face au défi majeur de l’information et de la communication », animé par Zio Moussa président de l’Observatoire pour la Liberté de la Presse, de l’Ethique et de la Déontologie (OLPED. Qui a instruit également les 38 correspondants de presse venus de toutes les régions de la Côte d’Ivoire sur les techniques rédactionnelles et différents genres journalistiques.

A la cérémonie d’ouverture et en sa qualité de président de l’OLPED, Zio Moussa, a invité les correspondants de presse à cultiver la paix et la fraternité vraie dans leurs écrits. « On peut dire et tout écrire. Mais sachons tout dire et tout écrire », a-t-il conclu. Avant, il a exhorté les correspondants de presse à se former. Les correspondants de presse réunis à Bouaké ont réfléchi entre autres, sur l’amélioration des conditions de vie et de travail, du profil de carrière et des relations avec leurs différentes rédactions à Abidjan.

Après son élection, le premier président de l’UNACOPCI, Ladji Abou Sanogo élu pour un mandat de quatre (4) ans a indiqué qu’il s’agit de créer une union pour la défense des droits et devoirs du correspondant de presse. Il a été question au cours de cette Assemblée générale, a-t-il dit de réfléchir sur la contribution du correspondant de presse dans le processus de la paix et du développement en Côte d’Ivoire. Il a remercié Zio Moussa, ses confrères et MM. Kanga Roviart et Glodé Francelin qui représentaient respectivement l’UNJCI et l’Intersyndical de la presse en Côte d'Ivoire,

Aboubacar Al Syddick à Bouaké
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