Jean-Michaël Seri, le sociétaire de OGC Nice ne sera pas du déplacement au Mali à Bamako dans le cadre de la 5e journée des Eliminatoires de la Coupe du Monde zone Afrique dans le Groupe C. Le Milieu de terrain Ivoirien a contracté une blessure aux ischio-jambiers. Bien que loin du regroupement, l’ancien sociétaire de l’Asec Mimosas suit le travail que fait Marc Wilmots et son groupe pour le déplacement sur Bamako. Jean-Michel Seri suit à distance le groupe à tel point qu’il s’est permis de faire une révélation sur la manière de jouer des Eléphants sous l’ère Marc Wilmots. Les contre-performances des Eléphants sont, selon Jean-Michaël Seri, la conséquence d’un jeu ‘’ solitaire’’ des coéquipiers en sélection. Et surtout d’une absence de philosophie de jeu en sélection.
« À Nice, il y a une vraie philosophie ; en sélection, on se cherche un peu. Certains joueurs notamment veulent faire en sélection ce qu’ils ne font déjà pas en club. Du coup, ça déjoue toujours. Mais si tout le monde est dans un état d’esprit collectif, dans le but de jouer simple et de fournir du jeu, je pense qu’on pourra retrouver du grand Séri parce qu’ici (à Nice), c’est la collectivité qui prime. Ce n’est pas l’individualité de chaque joueur. Mais la chose la plus importante, c’est qu’il y a une vraie philosophie de jeu à Nice. Il y a une simplicité, une collectivité et en sélection, on ne l’a pas. C’est ce qui explique cela », a confié Jean-Michaël Seri à Jeune Afrique. Et d’ajouter : « Je pense qu’il nous faut une vraie philosophie de jeu… ce sont des choses qui doivent se travailler. Malheureusement, en sélection, nous n’avons pas le temps de travailler certains automatismes ». C’est dire que le sélectionneur national, Marc Wilmots se doit de mettre en place un plan de jeu pour son équipe afin de présenter un groupe homogène, compact. Même si ce dernier estime ne pas être un sorcier pour construire une équipe en quatre mois. « Une équipe ne se construit pas en quatre mois ; sinon ce n’est pas un entraîneur qu’il faut prendre mais un sorcier. Je ne suis pas un sorcier », lançait Marc Wilmots en conférence de presse. Pour le déplacement sur Bamako, le sociétaire de OGC Nice n’a pas manqué d’indiquer que cette rencontre sera difficile pour les Eléphants. « Il va falloir être costaud, ce sera un match difficile. Nous avons à cœur de nous qualifier pour le Mondial », a fait remarquer Jean-Michaël Seri. Espérons que ce déplacement à Bamako soit le début d’un jeu collectif retrouvé chez les Eléphants.
Ange Kouadio
« À Nice, il y a une vraie philosophie ; en sélection, on se cherche un peu. Certains joueurs notamment veulent faire en sélection ce qu’ils ne font déjà pas en club. Du coup, ça déjoue toujours. Mais si tout le monde est dans un état d’esprit collectif, dans le but de jouer simple et de fournir du jeu, je pense qu’on pourra retrouver du grand Séri parce qu’ici (à Nice), c’est la collectivité qui prime. Ce n’est pas l’individualité de chaque joueur. Mais la chose la plus importante, c’est qu’il y a une vraie philosophie de jeu à Nice. Il y a une simplicité, une collectivité et en sélection, on ne l’a pas. C’est ce qui explique cela », a confié Jean-Michaël Seri à Jeune Afrique. Et d’ajouter : « Je pense qu’il nous faut une vraie philosophie de jeu… ce sont des choses qui doivent se travailler. Malheureusement, en sélection, nous n’avons pas le temps de travailler certains automatismes ». C’est dire que le sélectionneur national, Marc Wilmots se doit de mettre en place un plan de jeu pour son équipe afin de présenter un groupe homogène, compact. Même si ce dernier estime ne pas être un sorcier pour construire une équipe en quatre mois. « Une équipe ne se construit pas en quatre mois ; sinon ce n’est pas un entraîneur qu’il faut prendre mais un sorcier. Je ne suis pas un sorcier », lançait Marc Wilmots en conférence de presse. Pour le déplacement sur Bamako, le sociétaire de OGC Nice n’a pas manqué d’indiquer que cette rencontre sera difficile pour les Eléphants. « Il va falloir être costaud, ce sera un match difficile. Nous avons à cœur de nous qualifier pour le Mondial », a fait remarquer Jean-Michaël Seri. Espérons que ce déplacement à Bamako soit le début d’un jeu collectif retrouvé chez les Eléphants.
Ange Kouadio
