Agboville – Une équipe du Fonds National de Lutte contre le Sida (FNLS) conduite par Dr Diabaté Adama, sous-directeur chargé de la mobilisation des ressources, a instruit vendredi les membres du comité départemental de lutte contre la pandémie sur comment réduire l’impact du VIH en Côte d’Ivoire par la mobilisation de ressources additionnelles en faveur de la lutte.
A travers un exposé, Dr Diabaté a indiqué qu’il s’agit d’un projet conçu par le FNLS pour permettre aux comités départementaux de lutte contre le Sida d’avoir une certaine autonomie financière afin de mener plus aisément des activités sur le terrain.
Ce projet, a-t-il dit, devrait aider à booster la lutte contre la pandémie dans chaque département où le comité va pouvoir vendre des timbres de solidarité allant de 100 à 100.000 FCFA à la population et aux entreprises, suite à une sensibilisation pour que chacun comprenne que c’est pour le bien de la communauté locale.
Avec ces ressources, la communauté recevra effectivement les services de lutte contre le Sida en matière de sensibilisation, de dépistage, de traitement, etc.
Selon Dr Diabaté, le Sida étant encore d’actualité en Côte d'Ioire, il faudra en interne la contribution de tous pour l’éradiquer, au lieu d’attendre que le financement vienne toujours de partenaires extérieurs. Ce, d’autant plus qu’environ 460.000 personnes vivaient déjà avec le VIH à l’issue d’une enquête menée en 2011-2012. Sur la même période, cette même enquête estimait le taux de prévalence à 3,7% en Côte d’Ivoire, a-t-il précisé.
(AIP)
yy/cmas
A travers un exposé, Dr Diabaté a indiqué qu’il s’agit d’un projet conçu par le FNLS pour permettre aux comités départementaux de lutte contre le Sida d’avoir une certaine autonomie financière afin de mener plus aisément des activités sur le terrain.
Ce projet, a-t-il dit, devrait aider à booster la lutte contre la pandémie dans chaque département où le comité va pouvoir vendre des timbres de solidarité allant de 100 à 100.000 FCFA à la population et aux entreprises, suite à une sensibilisation pour que chacun comprenne que c’est pour le bien de la communauté locale.
Avec ces ressources, la communauté recevra effectivement les services de lutte contre le Sida en matière de sensibilisation, de dépistage, de traitement, etc.
Selon Dr Diabaté, le Sida étant encore d’actualité en Côte d'Ioire, il faudra en interne la contribution de tous pour l’éradiquer, au lieu d’attendre que le financement vienne toujours de partenaires extérieurs. Ce, d’autant plus qu’environ 460.000 personnes vivaient déjà avec le VIH à l’issue d’une enquête menée en 2011-2012. Sur la même période, cette même enquête estimait le taux de prévalence à 3,7% en Côte d’Ivoire, a-t-il précisé.
(AIP)
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