Les encadreurs et élèves des établissements scolaires de Yamoussoukro ont été instruits, mercredi, lors d'un atelier de formation sur les différents types de dogues et les signes primaires de reconnaissance d’un toxicomane en vue de lutter efficacement contre les additions en milieu scolaire.
Initié par SOS village programme de Yamoussoukro, l’atelier de formation s'inscrit dans le cadre des préparatifs de la campagne de proximité de lutte contre la drogue. Il a réuni une trentaine d’encadreurs, d'assistants sociaux, d’inspecteurs d'éducation spécialisée, de professeurs et de présidents de clubs d'élèves qui ont bénéficié de "suffisamment d'arguments" pour cette campagne.
Le coordonnateur du projet du centre de compétence vie et santé de la reproduction (CCV/SR), Léon Aké Ahiba, il existe différents types de drogues classés en trois grandes catégories, à savoir les stimulants, les perturbateurs et les dépresseurs ainsi que les effets et signes primaires pour reconnaître un consommateur de drogue.
Selon M. Aka, "la drogue trahit et ses effets sont comme un ascenseur qui monte et qui descend". Ces substances, a-t-il ajouté, procurent au départ de leur consommation, les effets recherchés que sont la sensation psychologique d'euphorie, la fausse puissance mentale, la volubilité, entraînent la désinhibition (absence de honte), l'illumination mystique, augmentent la vigilance et maintiennent en état d'éveil
"Plus tard, la drogue engendre une incoordination des mouvements, l'euphorie se transforme en hallucination visuelle et la vigilance en apathie. Elle modifie la perception, perturbe le fonctionnement cardiaque, physiologique et des sens, affecte les émotions, cause la confusion mentale et affecte la mémoire", a fait savoir le formateur, prévenant que, vu les conséquences néfastes, "il faut mieux ne pas essayer".
À l’ouverture de l’atelier, le directeur de SOSVE, Diarrasouba Adama, a invité les élèves et leurs encadreurs à être les relais de la sensibilisation sur la drogue et à mener des actions qui seront soutenues par SOS en vue de réduire le taux de consommation de drogues en milieu scolaire.
L'atelier de préparation de la lutte contre la drogue en milieu scolaire a vu la mise en place d'une stratégie de communication pour la campagne qui va durer toute l’année scolaire dans plus de 12 lycées et collèges. L’objectif est de fournir à plus de 3 000 élèves des lycées et collèges des informations pour un changement de comportement et pour éviter la consommation de la drogue.
Plus d’une centaine d’élèves dont des filles des lycées et collèges de Yamoussoukro ont été interpellés par la police des stupéfiants au cours de l’année scolaire 2016-2017, rappelle-t-on.
nam/kp
Initié par SOS village programme de Yamoussoukro, l’atelier de formation s'inscrit dans le cadre des préparatifs de la campagne de proximité de lutte contre la drogue. Il a réuni une trentaine d’encadreurs, d'assistants sociaux, d’inspecteurs d'éducation spécialisée, de professeurs et de présidents de clubs d'élèves qui ont bénéficié de "suffisamment d'arguments" pour cette campagne.
Le coordonnateur du projet du centre de compétence vie et santé de la reproduction (CCV/SR), Léon Aké Ahiba, il existe différents types de drogues classés en trois grandes catégories, à savoir les stimulants, les perturbateurs et les dépresseurs ainsi que les effets et signes primaires pour reconnaître un consommateur de drogue.
Selon M. Aka, "la drogue trahit et ses effets sont comme un ascenseur qui monte et qui descend". Ces substances, a-t-il ajouté, procurent au départ de leur consommation, les effets recherchés que sont la sensation psychologique d'euphorie, la fausse puissance mentale, la volubilité, entraînent la désinhibition (absence de honte), l'illumination mystique, augmentent la vigilance et maintiennent en état d'éveil
"Plus tard, la drogue engendre une incoordination des mouvements, l'euphorie se transforme en hallucination visuelle et la vigilance en apathie. Elle modifie la perception, perturbe le fonctionnement cardiaque, physiologique et des sens, affecte les émotions, cause la confusion mentale et affecte la mémoire", a fait savoir le formateur, prévenant que, vu les conséquences néfastes, "il faut mieux ne pas essayer".
À l’ouverture de l’atelier, le directeur de SOSVE, Diarrasouba Adama, a invité les élèves et leurs encadreurs à être les relais de la sensibilisation sur la drogue et à mener des actions qui seront soutenues par SOS en vue de réduire le taux de consommation de drogues en milieu scolaire.
L'atelier de préparation de la lutte contre la drogue en milieu scolaire a vu la mise en place d'une stratégie de communication pour la campagne qui va durer toute l’année scolaire dans plus de 12 lycées et collèges. L’objectif est de fournir à plus de 3 000 élèves des lycées et collèges des informations pour un changement de comportement et pour éviter la consommation de la drogue.
Plus d’une centaine d’élèves dont des filles des lycées et collèges de Yamoussoukro ont été interpellés par la police des stupéfiants au cours de l’année scolaire 2016-2017, rappelle-t-on.
nam/kp
