Odienné, 11 nov (AIP)-La Société ivoire manganèse, exploitant la mine de manganèse de Kaniasso depuis 2009, a mis à la disposition du Comité de développement local minier, la somme de 8,5 millions de francs CFA pour son fonctionnement et la réalisation de projets communautaires, a appris l’AIP sur place à Kaniasso.
Le préfet de Kaniasso, Coulibaly Seydou, par ailleurs président du Comité de développement local minier (CDLM), ayant jugé le montant trop faible a demandé à la société exploitante de revoir ce montant à la hausse, vu les nombreux besoins des populations impactées par le projet. Ainsi le montant a été valorisé à 20 millions.
Un délais de deux semaines est accordé aux membres du comité de développement local pour mettre en place des projets prioritaires à réaliser dans l’intérêt des populations des villages impactés par la mine de manganèse de Kaniasso. Et cela selon le budget alloué au CDLM.
Ouverte en 2009, la mine de Kaniasso a connu plusieurs arrêts de travail du fait des incompréhensions avec les populations. Le ministre des mines a procédé à la mise en place d’un comité de développement local pour faciliter le dialogue entre société exploitant et populations en mars 2017, mais au lendemain de la création du CDLM, les populations ont bloqué les activités de la mine jusqu’ à ce jour, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/fmo
Le préfet de Kaniasso, Coulibaly Seydou, par ailleurs président du Comité de développement local minier (CDLM), ayant jugé le montant trop faible a demandé à la société exploitante de revoir ce montant à la hausse, vu les nombreux besoins des populations impactées par le projet. Ainsi le montant a été valorisé à 20 millions.
Un délais de deux semaines est accordé aux membres du comité de développement local pour mettre en place des projets prioritaires à réaliser dans l’intérêt des populations des villages impactés par la mine de manganèse de Kaniasso. Et cela selon le budget alloué au CDLM.
Ouverte en 2009, la mine de Kaniasso a connu plusieurs arrêts de travail du fait des incompréhensions avec les populations. Le ministre des mines a procédé à la mise en place d’un comité de développement local pour faciliter le dialogue entre société exploitant et populations en mars 2017, mais au lendemain de la création du CDLM, les populations ont bloqué les activités de la mine jusqu’ à ce jour, rappelle-t-on.
(AIP)
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