Les transporteurs de la ville de Tabou ont demandé l’intervention du président de la République, Alassane Ouattara pour réhabiliter les routes de la localité devenues impraticables, lors d’une interview accordée dimanche, à l’AIP sur place.
« La route Tabou-Sogb qui fait une quarantaine de kilomètres est parcourue par nos véhicules en trois heures au lieu d'une trentaine de minutes à cause du goudron qui a disparu à plusieurs endroits, provoquant ainsi des pannes récurrentes dans nos véhicules », a expliqué le porte parole des chauffeurs de Tabou, Bassian Tiéné.
« L'état de ce tronçon fait que régulièrement nous sommes obligés de changer les amortisseurs, les lames, les plaquettes et les disques de roue de nos véhicules qui sont de ce fait en très mauvais état », a-t-il poursuivi.
Selon M. Tiéné pour qui cette situation perdure, demande aux autorités politiques de les aider en réhabilitant les routes pour une meilleure circulation. En dehors de cette route Tabou-Sogb, il faut ajouter la Nationale A7 qui traverse le département de Tabou devenue également impraticable, a-t-il conclu.
Les populations implorent le gouvernement et lui demandent de ne pas oublier Tabou afin de mettre fin à leur souffrance pour une circulation normale.
(AIP)
Bb/ano/fmo
« La route Tabou-Sogb qui fait une quarantaine de kilomètres est parcourue par nos véhicules en trois heures au lieu d'une trentaine de minutes à cause du goudron qui a disparu à plusieurs endroits, provoquant ainsi des pannes récurrentes dans nos véhicules », a expliqué le porte parole des chauffeurs de Tabou, Bassian Tiéné.
« L'état de ce tronçon fait que régulièrement nous sommes obligés de changer les amortisseurs, les lames, les plaquettes et les disques de roue de nos véhicules qui sont de ce fait en très mauvais état », a-t-il poursuivi.
Selon M. Tiéné pour qui cette situation perdure, demande aux autorités politiques de les aider en réhabilitant les routes pour une meilleure circulation. En dehors de cette route Tabou-Sogb, il faut ajouter la Nationale A7 qui traverse le département de Tabou devenue également impraticable, a-t-il conclu.
Les populations implorent le gouvernement et lui demandent de ne pas oublier Tabou afin de mettre fin à leur souffrance pour une circulation normale.
(AIP)
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