Abidjan - Le commissaire du district de Police de Yopougon, Kollo Yéo, exhorte les populations à maintenir une franche collaboration avec la Police nationale, afin de débusquer les gangs et les bandits qui troublent le sommeil et endeuillent les familles.
"Une Police sans la collaboration de sa population ne saurait être efficace et ne pourrait porter de coup fatal aux différentes bandes qui sévissent dans sa cité », a-t-il soutenu lors d’un entretien avec l’AIP, lundi.
Le commissaire Yéo a exhorté la population de Yopougon à appeler gratuitement les numéros 100, 145 et 110, pour dénoncer tous les agissements suspects.
Il a dit regretter, également, que le comité consultatif composé de représentants de la population et de la Police mis en place pour une meilleure collaboration bilatérale ne connaisse pas de résultats probants. "Tous les corps de la société civile résidant à Yopougon viennent, prendre part à notre rencontre mensuelle mais ils refusent de collaborer parce que les bandits n’opèrent jamais seul. C’est dommage!", a déploré le commissaire.
Un vieil homme nommé Emile Piga Regtoumda a été découvert mort tailladé à la machette, le 23 novembre devant sa cour située au quartier Petit Toits-rouges de Yopougon. Dame Siata Coulibaly, 54 ans, a été assommée et poignardée la semaine dernière par un homme qui a tenté de la violer dans un champ situé à Yopougon, au quartier Béago, a-t-on appris de source policière.
(AIP)
tg/nmfa/cmas
"Une Police sans la collaboration de sa population ne saurait être efficace et ne pourrait porter de coup fatal aux différentes bandes qui sévissent dans sa cité », a-t-il soutenu lors d’un entretien avec l’AIP, lundi.
Le commissaire Yéo a exhorté la population de Yopougon à appeler gratuitement les numéros 100, 145 et 110, pour dénoncer tous les agissements suspects.
Il a dit regretter, également, que le comité consultatif composé de représentants de la population et de la Police mis en place pour une meilleure collaboration bilatérale ne connaisse pas de résultats probants. "Tous les corps de la société civile résidant à Yopougon viennent, prendre part à notre rencontre mensuelle mais ils refusent de collaborer parce que les bandits n’opèrent jamais seul. C’est dommage!", a déploré le commissaire.
Un vieil homme nommé Emile Piga Regtoumda a été découvert mort tailladé à la machette, le 23 novembre devant sa cour située au quartier Petit Toits-rouges de Yopougon. Dame Siata Coulibaly, 54 ans, a été assommée et poignardée la semaine dernière par un homme qui a tenté de la violer dans un champ situé à Yopougon, au quartier Béago, a-t-on appris de source policière.
(AIP)
tg/nmfa/cmas
