Abidjan – Le Président de la Conférence permanente des Chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF), Germain Essohouna Meba, a assuré le Premier ministre ivoirien, de la volonté, de son organisation, de renforcer les relations d’affaires entre les chambres consulaires des pays du Nord et du Sud.
A l’issue d’une audience à la Primature, lundi, le président de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF) a salué l’intérêt de la Côte d’Ivoire, pour la tenue, mardi, de la 43ème Assemblée générale de son institution, qui enregistrera la présence de plus de 560 organisations consulaires africaines et francophones, à Abidjan.
Cette rencontre internationale veut affirmer la coopération entre les pays du Nord et du Sud, à travers des programmes et des actions importantes. « Elle doit permettre, notamment, aux chambres consulaires du Nord, d’assister celles du Sud, en leur donnant d’être au même diapason, a indiqué Germain Essohouna Meba.
Une démarche, dont l’enjeu est, notamment, de faire profiter au pays du Sud, de l’expertise des pays du Nord, d’accroître le niveau de formation des organisations consulaires d’Afrique, pour une meilleure insertion des jeunes et de renforcer la collaboration entre les chambres, selon le président de la CPCCAF.
Parrainée par le Premier ministre, Gon Coulibaly, cette manifestation va redorer le blason de la Côte d’Ivoire, avec des retombées positives en termes d’image et de nouveaux courants d’Affaires, avec la présence de 150 chefs d’entreprises attendus, avait-il indiqué, mardi, lors de sa conférence de presse, au siège, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, Touré Faman,
Le réseau du CPCCAF comprend des institutions consulaires régionales locales, régionales et nationales reconnues. Il couvre les secteurs du commerce et de l’industrie, des services et de l’artisanat et de l’agriculture, ainsi que des mines et des forêts.
Le CPCCAF peut s’enorgueillir d’avoir implémenter des projets, dont la création de base de données d’entreprises, l’appui en matière de formation professionnelle des chambres consulaires africaines et la création de centres de médiation et d’arbitrage pour les litiges commerciaux, ainsi que de centre d’informations économiques et de documentation, rappelle-t-on.
nmfa/fmo
A l’issue d’une audience à la Primature, lundi, le président de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF) a salué l’intérêt de la Côte d’Ivoire, pour la tenue, mardi, de la 43ème Assemblée générale de son institution, qui enregistrera la présence de plus de 560 organisations consulaires africaines et francophones, à Abidjan.
Cette rencontre internationale veut affirmer la coopération entre les pays du Nord et du Sud, à travers des programmes et des actions importantes. « Elle doit permettre, notamment, aux chambres consulaires du Nord, d’assister celles du Sud, en leur donnant d’être au même diapason, a indiqué Germain Essohouna Meba.
Une démarche, dont l’enjeu est, notamment, de faire profiter au pays du Sud, de l’expertise des pays du Nord, d’accroître le niveau de formation des organisations consulaires d’Afrique, pour une meilleure insertion des jeunes et de renforcer la collaboration entre les chambres, selon le président de la CPCCAF.
Parrainée par le Premier ministre, Gon Coulibaly, cette manifestation va redorer le blason de la Côte d’Ivoire, avec des retombées positives en termes d’image et de nouveaux courants d’Affaires, avec la présence de 150 chefs d’entreprises attendus, avait-il indiqué, mardi, lors de sa conférence de presse, au siège, le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, Touré Faman,
Le réseau du CPCCAF comprend des institutions consulaires régionales locales, régionales et nationales reconnues. Il couvre les secteurs du commerce et de l’industrie, des services et de l’artisanat et de l’agriculture, ainsi que des mines et des forêts.
Le CPCCAF peut s’enorgueillir d’avoir implémenter des projets, dont la création de base de données d’entreprises, l’appui en matière de formation professionnelle des chambres consulaires africaines et la création de centres de médiation et d’arbitrage pour les litiges commerciaux, ainsi que de centre d’informations économiques et de documentation, rappelle-t-on.
nmfa/fmo
