Le projet « renforcement des capacités des acteurs non-étatiques à améliorer le processus APV-FLEGT et REDD+ en Afrique de l’Ouest » a été présenté lundi, à Cocody, au cours d’un atelier d’identification des priorités en matière de Renforcement des capacités des Organisations de la société civile ivoirienne.
L’objectif spécifique de cet atelier était de faire le bilan de la participation des organisations des sociétés civiles aux processus APV- FLEGT et REDD+, identifier et proposer des activités de renforcement des capacités concrètes prioritaires et un chronogramme de mise en œuvre, ainsi que l’analyse diagnostic de cette participation afin de relever les insuffisances et les limites à ces deux processus.
Selon le Coordonnateur national du Groupe national de travail de Côte d’Ivoire sur la gestion durable des forêts et la certification forestière (GNTCI), Pr Hilaire Yaokokoré-Béhibro, qui conduisait cet atelier, ce projet est financé par l’Union européenne et mis en œuvre dans trois pays, notamment, le Ghana, le Liberia et la Côte d’Ivoire, a pour objectif d’améliorer la capacité des acteurs non-étatiques (ANE) à surveiller, à défendre et à s’engager avec les acteurs étatiques dans les processus APV-FLEGT et REDD+.
Il vise à améliorer la contribution des ANE à la gouvernance forestière et à la gestion durable des forêts en Afrique de l’Ouest, l’objectif spécifique de cet atelier est de faire le bilan de la participation des organisations des sociétés civiles aux processus APV- FLEGT et REDD+, identifier et proposer des activités de renforcement des capacités concrètes prioritaires et un chronogramme de mise en œuvre, ainsi que l’analyse diagnostic de cette participation afin de relever les insuffisances et les limites à ces deux processus.
Pour le coordonnateur national, le GNTCI a eu jusque-là un accès limité aux plateformes d’échanges sur les processus APV-FLEGT et REED+, le renforcement des capacités s’avère donc nécessaire pour permettre aux ANE d’avoir une meilleure participation aux processus APV-FLEGT et REDD+.
Il a demandé aux participants d’axer leur vision sur l’avancement du projet parce que beaucoup de travail reste à faire, et de s’approprient ce projet, afin que leurs capacités soient renforcées.
L’APV-FLEGT est un accord international bilatéral entre l’union européenne et un pays exportateur de bois, dont le but est d’améliorer la gouvernance forestière du pays et de s’assurer que le bois importé dans l’UE remplit toutes les exigences réglementaires du pays. A ce titre, il apparait comme un outil important pour lutter contre l’exploitation illégale des forêts et promouvoir l’objectif à long terme de la gestion durable des forêts. A dit Mr Yaokokoré
mck/akn/fmo
L’objectif spécifique de cet atelier était de faire le bilan de la participation des organisations des sociétés civiles aux processus APV- FLEGT et REDD+, identifier et proposer des activités de renforcement des capacités concrètes prioritaires et un chronogramme de mise en œuvre, ainsi que l’analyse diagnostic de cette participation afin de relever les insuffisances et les limites à ces deux processus.
Selon le Coordonnateur national du Groupe national de travail de Côte d’Ivoire sur la gestion durable des forêts et la certification forestière (GNTCI), Pr Hilaire Yaokokoré-Béhibro, qui conduisait cet atelier, ce projet est financé par l’Union européenne et mis en œuvre dans trois pays, notamment, le Ghana, le Liberia et la Côte d’Ivoire, a pour objectif d’améliorer la capacité des acteurs non-étatiques (ANE) à surveiller, à défendre et à s’engager avec les acteurs étatiques dans les processus APV-FLEGT et REDD+.
Il vise à améliorer la contribution des ANE à la gouvernance forestière et à la gestion durable des forêts en Afrique de l’Ouest, l’objectif spécifique de cet atelier est de faire le bilan de la participation des organisations des sociétés civiles aux processus APV- FLEGT et REDD+, identifier et proposer des activités de renforcement des capacités concrètes prioritaires et un chronogramme de mise en œuvre, ainsi que l’analyse diagnostic de cette participation afin de relever les insuffisances et les limites à ces deux processus.
Pour le coordonnateur national, le GNTCI a eu jusque-là un accès limité aux plateformes d’échanges sur les processus APV-FLEGT et REED+, le renforcement des capacités s’avère donc nécessaire pour permettre aux ANE d’avoir une meilleure participation aux processus APV-FLEGT et REDD+.
Il a demandé aux participants d’axer leur vision sur l’avancement du projet parce que beaucoup de travail reste à faire, et de s’approprient ce projet, afin que leurs capacités soient renforcées.
L’APV-FLEGT est un accord international bilatéral entre l’union européenne et un pays exportateur de bois, dont le but est d’améliorer la gouvernance forestière du pays et de s’assurer que le bois importé dans l’UE remplit toutes les exigences réglementaires du pays. A ce titre, il apparait comme un outil important pour lutter contre l’exploitation illégale des forêts et promouvoir l’objectif à long terme de la gestion durable des forêts. A dit Mr Yaokokoré
mck/akn/fmo
