Dimbokro - La ville de Dimbokro connaît une ferveur et une effervescence particulière ce dimanche, dernière journée de l'année 2017, a constaté l'AIP.
Au grand marché de la ville bondé de monde, les vendeurs de poulets se frottent les mains. "Venez madame! Les coquelets sont là, bien gros. C'est 6500 FCFA une poule", lance Mamoud Soilé à dame Cécile Konan. L'homme soulève un gros coq et le tend à la cliente qui, après quelques instants d'hésitation, délie sa bourse, s'empare de la volaille et s'éloigne avec.
A la gare routière, dans un brouhaha indescriptible, Marina, les mains chargées de vivres, s'engouffre dans un taxi communal pour son quartier, Belleville. "Je me dépêche d'entrer car je dois préparer pour les enfants et apprêter les choses pour demain", dit-elle.
Sur le visage de certains passagers, se lit la tristesse car ils sont inquiets de n'avoir pas de car à destination de leurs villages.
"Je suis venu ce matin faire des emplettes pour le Nouvel an mais je ne trouve pas de taxi-brousse pour retourner chez moi", explique Cédric Martin N'goran, un habitant d'Adjoumanikro, un village de la sous-préfecture de Nofou. Soudain, il court vers un véhicule "Badjan" qui vient de s'immobilier difficilement dans un crissement de pneus.
Assurément, les populations célébreront la nuit de la Saint Sylvestre dans la joie dans les églises et les "maquis", à Dimbokro.
ik/cmas
Au grand marché de la ville bondé de monde, les vendeurs de poulets se frottent les mains. "Venez madame! Les coquelets sont là, bien gros. C'est 6500 FCFA une poule", lance Mamoud Soilé à dame Cécile Konan. L'homme soulève un gros coq et le tend à la cliente qui, après quelques instants d'hésitation, délie sa bourse, s'empare de la volaille et s'éloigne avec.
A la gare routière, dans un brouhaha indescriptible, Marina, les mains chargées de vivres, s'engouffre dans un taxi communal pour son quartier, Belleville. "Je me dépêche d'entrer car je dois préparer pour les enfants et apprêter les choses pour demain", dit-elle.
Sur le visage de certains passagers, se lit la tristesse car ils sont inquiets de n'avoir pas de car à destination de leurs villages.
"Je suis venu ce matin faire des emplettes pour le Nouvel an mais je ne trouve pas de taxi-brousse pour retourner chez moi", explique Cédric Martin N'goran, un habitant d'Adjoumanikro, un village de la sous-préfecture de Nofou. Soudain, il court vers un véhicule "Badjan" qui vient de s'immobilier difficilement dans un crissement de pneus.
Assurément, les populations célébreront la nuit de la Saint Sylvestre dans la joie dans les églises et les "maquis", à Dimbokro.
ik/cmas
