Des experts et des autorités ivoiriennes ont convenu mardi à Man (ouest) de conjuguer leurs efforts contre l'immigration clandestine des jeunes.
Lors d'une rencontre, la secrétaire permanente du Centre d'accueil, d'information, d'orientation et d'accompagnement des migrants de Côte d'Ivoire (CAIOAM-CI) Synthia Ekra a dénoncé les risques et les dangers de l'immigration irrégulière.
Elle a fait état de la nécessité de mener des actions d'envergure pour dissuader les jeunes et les femmes à entreprendre cette aventure périlleuse au risque de leur vie.
"Ne pas aller en Europe, n'est pas une fatalité", a-t-elle insisté.
Le Représentant du Préfet de Région, Ernest Gouassirou, a pour sa part invité les jeunes ivoiriens à la créativité, à la patience et au courage pour mener des activités génératrices de revenus.
"Cela leur évitera d'aller mourir sur les côtes méditerranéennes", a soutenu M. Gouassirou.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont exprimé leur volonté de juguler l'immigration clandestine des jeunes.
Le gouvernement ivoirien a ainsi décidé d'intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, notamment à Daloa (centre-ouest, 400 km d'Abidjan).
A en croire la Direction générale des Ivoiriens de l'Extérieur, à ce jour, quelque 1.240.000 Ivoiriens vivent à travers le monde.
De 2016 à 2017, plus de 3.000 personnes sont arrivées en Italie par voie maritime, en provenance de Côte d'Ivoire.
Selon les associations qui oeuvrent contre l'immigration clandestine, ces 20 dernières années, environ 20.000 personnes ont perdu la vie en tentant de se rendre en Europe par la Méditerranée.
Lors d'une rencontre, la secrétaire permanente du Centre d'accueil, d'information, d'orientation et d'accompagnement des migrants de Côte d'Ivoire (CAIOAM-CI) Synthia Ekra a dénoncé les risques et les dangers de l'immigration irrégulière.
Elle a fait état de la nécessité de mener des actions d'envergure pour dissuader les jeunes et les femmes à entreprendre cette aventure périlleuse au risque de leur vie.
"Ne pas aller en Europe, n'est pas une fatalité", a-t-elle insisté.
Le Représentant du Préfet de Région, Ernest Gouassirou, a pour sa part invité les jeunes ivoiriens à la créativité, à la patience et au courage pour mener des activités génératrices de revenus.
"Cela leur évitera d'aller mourir sur les côtes méditerranéennes", a soutenu M. Gouassirou.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont exprimé leur volonté de juguler l'immigration clandestine des jeunes.
Le gouvernement ivoirien a ainsi décidé d'intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, notamment à Daloa (centre-ouest, 400 km d'Abidjan).
A en croire la Direction générale des Ivoiriens de l'Extérieur, à ce jour, quelque 1.240.000 Ivoiriens vivent à travers le monde.
De 2016 à 2017, plus de 3.000 personnes sont arrivées en Italie par voie maritime, en provenance de Côte d'Ivoire.
Selon les associations qui oeuvrent contre l'immigration clandestine, ces 20 dernières années, environ 20.000 personnes ont perdu la vie en tentant de se rendre en Europe par la Méditerranée.
