Le procès du putsch manqué du 16 septembre 2015, au Burkina Faso, s’est ouvert hier 27 février 2018, dans la Salle des banquets de Ouaga 2000. Il a aussitôt été suspendu pour « illégalité du tribunal » et reporté à la mi-mars.
Le procès avait été ouvert mardi dans la matinée, puis suspendu dans l’après-midi après le retrait de tous les avocats de la défense qui contestaient la légalité du tribunal militaire. 66 militaires et 18 civils sont accusés de trahison, d’attentat à la sûreté de l’État, de coups et blessures volontaires et de meurtres. Parmi eux figurent les généraux Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé, cerveaux présumés du coup d’État manqué qui a fait 14 morts et 270 blessés.
Michel Traoré, avocat de l’ancien chef... suite de l'article sur Autre presse
Le procès avait été ouvert mardi dans la matinée, puis suspendu dans l’après-midi après le retrait de tous les avocats de la défense qui contestaient la légalité du tribunal militaire. 66 militaires et 18 civils sont accusés de trahison, d’attentat à la sûreté de l’État, de coups et blessures volontaires et de meurtres. Parmi eux figurent les généraux Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé, cerveaux présumés du coup d’État manqué qui a fait 14 morts et 270 blessés.
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