La tendance au départ d’ivoiriens présumés s’est confirmée en 2017, avec près de 10.000 arrivées irrégulières en Italie entre janvier et décembre, a indiqué l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), dans un rapport.
"La tendance se confirme en 2017, où près de 10.000 migrants se disant Ivoiriens sont arrivés en Italie entre janvier et décembre", indique la Mission de l’OIM en Côte d’Ivoire.
Selon l’OIM, cette situation place la CI en "troisième position d’arrivées (des pays d’Afrique de l’Ouest) sur la route méditerranéenne centrale après le Nigéria et la Guinée.
Un an auparavant, le pays occupait le 4e rang.
"En 2016, le nombre de personnes se réclamant de la citoyenneté ivoirienne arrivant sur les côtes italiennes a bondi pour atteindre le chiffre de 13.000, soit une hausse de près de 230% entre 2015 et 2016, passant ainsi en quatrième position des pays d’origine d’Afrique de l’Ouest", explique l’OIM.
L’OIM dit avoir contribué en 2017 au retour volontaire en Côte d’Ivoire de plus de 1.400 migrants (80% de sexe masculin, 65% âgés de 19 à 30 ans).
70% des Ivoiriens de retour menaient une activité rémunérée avant leur départ et près de 30% d’entre eux indiquent être originaires d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne.
RKO
"La tendance se confirme en 2017, où près de 10.000 migrants se disant Ivoiriens sont arrivés en Italie entre janvier et décembre", indique la Mission de l’OIM en Côte d’Ivoire.
Selon l’OIM, cette situation place la CI en "troisième position d’arrivées (des pays d’Afrique de l’Ouest) sur la route méditerranéenne centrale après le Nigéria et la Guinée.
Un an auparavant, le pays occupait le 4e rang.
"En 2016, le nombre de personnes se réclamant de la citoyenneté ivoirienne arrivant sur les côtes italiennes a bondi pour atteindre le chiffre de 13.000, soit une hausse de près de 230% entre 2015 et 2016, passant ainsi en quatrième position des pays d’origine d’Afrique de l’Ouest", explique l’OIM.
L’OIM dit avoir contribué en 2017 au retour volontaire en Côte d’Ivoire de plus de 1.400 migrants (80% de sexe masculin, 65% âgés de 19 à 30 ans).
70% des Ivoiriens de retour menaient une activité rémunérée avant leur départ et près de 30% d’entre eux indiquent être originaires d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne.
RKO
