Man - Une quarantaine de producteurs du Bafing et du Tonkpi prennent part depuis lundi à Man, à un atelier pour acquérir de nouvelles techniques culturales en vue de l’amélioration de la qualité de la production vivrière.
Assurée par la fondation coréenne Saemaul, cette formation va apporter à aux producteurs du Tonkpi et du Bafing le savoir-faire en vue d’une production en quantité et en qualité de vivriers, a expliqué, mardi, la chargée de production agricole de Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation (PROPACOM) Ouest à Man, Attobra Léonie.
Mme Attobra a ajouté que le Folon et le Kabadougou bénéficieront également de cette formation.
D’une durée de cinq ans, le projet PROPACOM qui prend fin en 2020 concerne, entre autres, les cultures de maïs, de riz, de manioc et les maraichers.
"Nous sommes satisfaites de cette formation dispensée par les représentants de la Corée. Nous avons appris, durant deux jours, à faire l’engrais biologique, c’est-à-dire le compost avec des feuilles fraiches, sèches, des peaux de bananes, de manioc, etc. Et nous allons mettre tout cela en pratique en vue d’avoir un bon rendement agricole", ont affirmé des participantes à l'atelier.
Pour leur part, les formateurs de la fondation de globalisation Saemaul ont fait savoir qu’après deux jours de théorique, il va avoir une mise en pratique de trois jours des connaissances acquises sur un terrain agricole.
(AIP)
Amak/kp
Assurée par la fondation coréenne Saemaul, cette formation va apporter à aux producteurs du Tonkpi et du Bafing le savoir-faire en vue d’une production en quantité et en qualité de vivriers, a expliqué, mardi, la chargée de production agricole de Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation (PROPACOM) Ouest à Man, Attobra Léonie.
Mme Attobra a ajouté que le Folon et le Kabadougou bénéficieront également de cette formation.
D’une durée de cinq ans, le projet PROPACOM qui prend fin en 2020 concerne, entre autres, les cultures de maïs, de riz, de manioc et les maraichers.
"Nous sommes satisfaites de cette formation dispensée par les représentants de la Corée. Nous avons appris, durant deux jours, à faire l’engrais biologique, c’est-à-dire le compost avec des feuilles fraiches, sèches, des peaux de bananes, de manioc, etc. Et nous allons mettre tout cela en pratique en vue d’avoir un bon rendement agricole", ont affirmé des participantes à l'atelier.
Pour leur part, les formateurs de la fondation de globalisation Saemaul ont fait savoir qu’après deux jours de théorique, il va avoir une mise en pratique de trois jours des connaissances acquises sur un terrain agricole.
(AIP)
Amak/kp
