Adzopé - Le directeur départemental de la santé d’Adzopé, Mamadou Krama a annoncé dimanche, lors de la célébration officielle de la journée mondiale de la lèpre que le nombre de malades de la lèpre est en nette baisse.
« En 2018, c’est vrai que le nombre de malades a baissé sensiblement mais il faut qu’on en finisse avec cette maladie », a-t-il dit. Et cela, selon lui, c’est l’objectif que s’est assigné le Gouvernement en encourageant la population à se faire dépister le plus tôt possible en fin de rompre la chaine de contamination et anéantir les risques de séquelles sur les malades.
« Cette année, nous allons faire en sorte que les cas de malades soient dépistés très tôt afin de casser la chaine de contamination et pouvoir prendre en charge le plus rapidement possible les malades pour éviter les séquelles », a indiqué Mamadou Krama.
Pour ce faire, il a signifié que les agents de santé sillonnent les villages en vue du dépistage précoce des malades et en cas de découverte d’un malade, celui-ci est mis à la disposition du district sanitaire auquel il appartient en vue de son traitement.
Par ailleurs, il a exhorté les populations à aider le gouvernement en se faisant dépister de façon précoce en vue de mettre fin à cette maladie invalidante.
A en croire le responsable du dépistage de l’institut Raoul Follereau, Prao Komenan, de 39 cas dépistés en 2016, l’on est passé à 27 cas en 2017.
ibt/bsp/fmo
« En 2018, c’est vrai que le nombre de malades a baissé sensiblement mais il faut qu’on en finisse avec cette maladie », a-t-il dit. Et cela, selon lui, c’est l’objectif que s’est assigné le Gouvernement en encourageant la population à se faire dépister le plus tôt possible en fin de rompre la chaine de contamination et anéantir les risques de séquelles sur les malades.
« Cette année, nous allons faire en sorte que les cas de malades soient dépistés très tôt afin de casser la chaine de contamination et pouvoir prendre en charge le plus rapidement possible les malades pour éviter les séquelles », a indiqué Mamadou Krama.
Pour ce faire, il a signifié que les agents de santé sillonnent les villages en vue du dépistage précoce des malades et en cas de découverte d’un malade, celui-ci est mis à la disposition du district sanitaire auquel il appartient en vue de son traitement.
Par ailleurs, il a exhorté les populations à aider le gouvernement en se faisant dépister de façon précoce en vue de mettre fin à cette maladie invalidante.
A en croire le responsable du dépistage de l’institut Raoul Follereau, Prao Komenan, de 39 cas dépistés en 2016, l’on est passé à 27 cas en 2017.
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