Divo – Les organisations de la société civile de la zone sud de la Côte d’Ivoire ont validé, jeudi à Divo, les outils de gestion du centre régional d’appui de la société civile (Crasc-Sud), qui est un dispositif de mutualisation et d’accompagnement de la société civile.
« Le Conseil d’administration aura désormais les coudées franches pour mener à bien ses missions, parce que cela a été présenté et validé en Assemblée générale », a expliqué le délégué régional du Crasc-Sud dans le Lôh-Djiboua, Yoro Isidore Lohouri, pour qui cette procédure obéit à une exigence de bonne gouvernance.
Les organisations de la société civile accompagnent le développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Ce sont des acteurs non étatiques qui agissent dans la même sphère que l’Etat avec des moyens privés, rappelle-t-on.
« Nous voulons arriver à un accompagnement étatique dans le cadre de nos activités car l’Etat, souvent, donne des subventions par exemple aux acteurs politiques. Mais ces derniers n’ont jamais construit d’écoles ni de dispensaires à la différence de la société civile », a indiqué Yoro Isidore Lohouri.
La zone sud du Crasc comprend dix régions dont le Lôh-Djiboua, le district autonome d’Abidjan et la région de San Pedro qui en abrite le siège.
(AIP)
gso/tm
« Le Conseil d’administration aura désormais les coudées franches pour mener à bien ses missions, parce que cela a été présenté et validé en Assemblée générale », a expliqué le délégué régional du Crasc-Sud dans le Lôh-Djiboua, Yoro Isidore Lohouri, pour qui cette procédure obéit à une exigence de bonne gouvernance.
Les organisations de la société civile accompagnent le développement économique et social de la Côte d’Ivoire. Ce sont des acteurs non étatiques qui agissent dans la même sphère que l’Etat avec des moyens privés, rappelle-t-on.
« Nous voulons arriver à un accompagnement étatique dans le cadre de nos activités car l’Etat, souvent, donne des subventions par exemple aux acteurs politiques. Mais ces derniers n’ont jamais construit d’écoles ni de dispensaires à la différence de la société civile », a indiqué Yoro Isidore Lohouri.
La zone sud du Crasc comprend dix régions dont le Lôh-Djiboua, le district autonome d’Abidjan et la région de San Pedro qui en abrite le siège.
(AIP)
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