A l’initiative de COOP hévéa, 50 jeunes ont bénéficié le 27 mars dernier à Lopouh dans le Département de Dabou, d’une formation dans le métier de Saigneur d’Hévéa. Contrairement à ce que pensent certains, ‘’le métier de saigneur nourrit son homme’’, a expliqué le porte-parole de COOP hévéa, Isaac Adi. Un saigneur perçoit au minimum 40 FCFA au kilogramme. Ce montant peut monter jusqu’à 100 F le kg, a fait savoir Isaac Adi.
Au regard de la production ivoirienne, la filière a e besoin de plus de 50 mille saigneurs, a-t-il ajouté. Isaac Adi a exhorté les jeunes formés à ne pas céder au découragement en dépit de la chute des prix du kilogramme d’Hévéa. ‘’Aujourd’hui, le coût du caoutchouc naturel est bas. C’est le fait du marché international. Demain, ce sera autour d’autres spéculations. Il faut avoir plusieurs productions pour faire face à ces conjonctures’’, a-t-il conseillé. Expliquant par ailleurs que le planteur doit désormais devenir un exploitant agricole en diversifiant ses productions.
Outre le métier de saigneur, les jeunes peuvent opter pour celui de Il régisseur de plantation. Qui requiert d’avoir le Baccalauréat, a révélé Yssouf Camara, membre de la COOP hévéa.
Elisée B.
Au regard de la production ivoirienne, la filière a e besoin de plus de 50 mille saigneurs, a-t-il ajouté. Isaac Adi a exhorté les jeunes formés à ne pas céder au découragement en dépit de la chute des prix du kilogramme d’Hévéa. ‘’Aujourd’hui, le coût du caoutchouc naturel est bas. C’est le fait du marché international. Demain, ce sera autour d’autres spéculations. Il faut avoir plusieurs productions pour faire face à ces conjonctures’’, a-t-il conseillé. Expliquant par ailleurs que le planteur doit désormais devenir un exploitant agricole en diversifiant ses productions.
Outre le métier de saigneur, les jeunes peuvent opter pour celui de Il régisseur de plantation. Qui requiert d’avoir le Baccalauréat, a révélé Yssouf Camara, membre de la COOP hévéa.
Elisée B.
