Abidjan - L’Autorité nationale de l’aviation civile (ANAC) et le gestionnaire de l’aéroport (AERIA) ont organisé un exercice de gestion de crise en sûreté et sécurité de l’aviation civile à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, indique une note d'information parvenue vendredi, à l'AIP.
Cet exercice de gestion de crise en sûreté et sécurité baptisé « SOUTARA II », qui a eu lieu le 14 mars, est une exigence de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Il a permis de tester la réaction générale des différents acteurs intervenant dans le plan d’urgence de l’aéroport.
Un expert de l’OACI, du COSCAP-UEMOA et un représentant de la CRASAC (Assistance Française) ont pris part à cette manœuvre qui s’est bien déroulé.
Le ministre des Transports, Amadou Koné et son homologue du Niger, Mahamadou Karidio, ont prodigué leurs encouragements au Comité de gestion de crise, réuni au Centre des opérations d’urgence (CDOU), dès le déclenchement de l’alerte.
La simulation a débuté par une prise d’otages à bord d’un avion et l’introduction d’un colis piégé dans le hall public de l’aérogare. Elle s’est achevée par un assaut de l’Unité d’intervention de la gendarmerie nationale (UIGN) et l’extinction d’un incendie provoqué par les "terroristes".
Le comité de crise était dirigé par le commandant supérieur en second de la gendarmerie nationale, le Général de brigade Touré Apaloh.
fmo
Cet exercice de gestion de crise en sûreté et sécurité baptisé « SOUTARA II », qui a eu lieu le 14 mars, est une exigence de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Il a permis de tester la réaction générale des différents acteurs intervenant dans le plan d’urgence de l’aéroport.
Un expert de l’OACI, du COSCAP-UEMOA et un représentant de la CRASAC (Assistance Française) ont pris part à cette manœuvre qui s’est bien déroulé.
Le ministre des Transports, Amadou Koné et son homologue du Niger, Mahamadou Karidio, ont prodigué leurs encouragements au Comité de gestion de crise, réuni au Centre des opérations d’urgence (CDOU), dès le déclenchement de l’alerte.
La simulation a débuté par une prise d’otages à bord d’un avion et l’introduction d’un colis piégé dans le hall public de l’aérogare. Elle s’est achevée par un assaut de l’Unité d’intervention de la gendarmerie nationale (UIGN) et l’extinction d’un incendie provoqué par les "terroristes".
Le comité de crise était dirigé par le commandant supérieur en second de la gendarmerie nationale, le Général de brigade Touré Apaloh.
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