Le ciel s’est quelque peu assombri ce dimanche matin. Tous les regards sont tournés vers le ciel qui, pour l’heure n’a pas encore ouvert les vannes au grand dam d’une population privée d’eau potable depuis près d’une semaine maintenant.
Ce matin, dans la cité Madjomi, au quartier Zone, c’est le branle-bas. Enfants, femmes et jeunes garçons et filles, bidons et cuvettes en mains avancent. Il est 5h du matin (GMT). « Depuis plusieurs jours, Bouaké n’a plus d’eau potable. Il nous a été dit que c’est le barrage de la Loka qui est à sec. Totalement. Or la prospective n’a pas envisagée ce cas pour prévoir une connexion comme à Korhogo de la ville sur le fleuve Bandama » se désole un père de famille.
« Je me lave un jour sur deux, je vais chercher... suite de l'article sur Pôle Afrique
Ce matin, dans la cité Madjomi, au quartier Zone, c’est le branle-bas. Enfants, femmes et jeunes garçons et filles, bidons et cuvettes en mains avancent. Il est 5h du matin (GMT). « Depuis plusieurs jours, Bouaké n’a plus d’eau potable. Il nous a été dit que c’est le barrage de la Loka qui est à sec. Totalement. Or la prospective n’a pas envisagée ce cas pour prévoir une connexion comme à Korhogo de la ville sur le fleuve Bandama » se désole un père de famille.
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