La deuxième ville ivoirienne, capitale de la région de Gbèkè est orpheline. Et c’est peu dire. Après avoir été le fief de l’ex-rébellion des Forces Nouvelles, désertée par une bonne partie de sa population durant 8 ans, pilonnée par l’aviation ivoirienne, balafrée par les zestes de la rébellion, secouée par des règlements de compte d’anciens rebelles incorporés au sein des Forces armées de Côte d’Ivoire, Bouaké vit une nouvelle ère de sa souffrance.
La ville, sans unité industrielle, car toutes fermées depuis des dizaines d’années sans que les promesses de réouverture soit une réalité, est maintenant privée d’eau potable. Oui, le précieux liquide manque et là, point question de rationnaliser, il n’y a plus d’eau. Le barrage de la Loka,... suite de l'article sur Pôle Afrique
La ville, sans unité industrielle, car toutes fermées depuis des dizaines d’années sans que les promesses de réouverture soit une réalité, est maintenant privée d’eau potable. Oui, le précieux liquide manque et là, point question de rationnaliser, il n’y a plus d’eau. Le barrage de la Loka,... suite de l'article sur Pôle Afrique