Les activités du comité de suivi-évaluation de la réforme de la formation professionnelle ont été lancées mardi, à Abidjan, dans l’optique de permettre aux apprenants d’acquérir un savoir-faire, une qualification et des compétences pour exercer un métier donné.
Représentant le Premier ministre, le ministre en charge des PME, Souleymane Diarrassouba, a indiqué que cette rencontre traduit toute l’importance que le gouvernement accorde aux actions en faveur de l’amélioration de la qualité de la formation par apprentissage en Côte d’ Ivoire. "Il est tout à faire normal que nous puissions former nos jeunes par la formation professionnelle, en amont par l’apprentissage, pour que les sociétés qui viennent s’installer en Côte d’Ivoire puissent avoir des techniciens et des ingénieurs afin que la dynamique économique puisse se poursuivre comme nous le souhaitons", a-t-il déclaré.
Le ministre Diarrassouba a exhorté les membres du comité à jouer pleinement leur rôle avec dévouement.
L’un des défis majeur de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, selon le Secrétaire d’Etat, Mamadou Touré, est d’offrir à la Côte d’Ivoire, un dispositif basé sur une offre plurielle de formations en fonction des besoins des porteurs de l’économie.
"Il s’agit, pour notre département, de renforcer l’adéquation formation-emploi afin d’arrimer les profils des postes de travail, aux profils de sortie de nos centres de formation, de manière à permettre aux jeunes formés d’acquérir des compétences nécessaires et utiles à même de leur assurer une plus grande employabilité. L’apprentissage apparaît comme une alternative crédible pour relever les défis de l’adéquation formation-emploi et partant contribuer efficacement à l’insertion des jeunes", a-t-il relevé.
Le secrétaire d’Etat a par ailleurs souligné que l’apprentissage, dans la situation actuelle, n’est pas un cursus de formation formel et systématique, mais plutôt un mode de rattrapage, à travers divers types de projets qui s’adressent aussi bien aux jeunes déscolarisés qu’aux jeunes diplômés qui n’ont pas acquis les compétences nécessaires, au cours de leur formation, pour accéder à un emploi décent.
Le comité de suivi-évaluation de la réforme de la formation professionnelle de l’apprentissage est composé de 12 membres issus des ministères et du secteur privé. Une phase expérimentale de mise œuvre de ce nouveau modèle d’apprentissage est prévue dans quatre centres pilotes.
(AIP)
ena/kp
Représentant le Premier ministre, le ministre en charge des PME, Souleymane Diarrassouba, a indiqué que cette rencontre traduit toute l’importance que le gouvernement accorde aux actions en faveur de l’amélioration de la qualité de la formation par apprentissage en Côte d’ Ivoire. "Il est tout à faire normal que nous puissions former nos jeunes par la formation professionnelle, en amont par l’apprentissage, pour que les sociétés qui viennent s’installer en Côte d’Ivoire puissent avoir des techniciens et des ingénieurs afin que la dynamique économique puisse se poursuivre comme nous le souhaitons", a-t-il déclaré.
Le ministre Diarrassouba a exhorté les membres du comité à jouer pleinement leur rôle avec dévouement.
L’un des défis majeur de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, selon le Secrétaire d’Etat, Mamadou Touré, est d’offrir à la Côte d’Ivoire, un dispositif basé sur une offre plurielle de formations en fonction des besoins des porteurs de l’économie.
"Il s’agit, pour notre département, de renforcer l’adéquation formation-emploi afin d’arrimer les profils des postes de travail, aux profils de sortie de nos centres de formation, de manière à permettre aux jeunes formés d’acquérir des compétences nécessaires et utiles à même de leur assurer une plus grande employabilité. L’apprentissage apparaît comme une alternative crédible pour relever les défis de l’adéquation formation-emploi et partant contribuer efficacement à l’insertion des jeunes", a-t-il relevé.
Le secrétaire d’Etat a par ailleurs souligné que l’apprentissage, dans la situation actuelle, n’est pas un cursus de formation formel et systématique, mais plutôt un mode de rattrapage, à travers divers types de projets qui s’adressent aussi bien aux jeunes déscolarisés qu’aux jeunes diplômés qui n’ont pas acquis les compétences nécessaires, au cours de leur formation, pour accéder à un emploi décent.
Le comité de suivi-évaluation de la réforme de la formation professionnelle de l’apprentissage est composé de 12 membres issus des ministères et du secteur privé. Une phase expérimentale de mise œuvre de ce nouveau modèle d’apprentissage est prévue dans quatre centres pilotes.
(AIP)
ena/kp
