Des bénévoles assurent le service à la préfecture de Bouaké, en lieu et place des fonctionnaires et agents de l’Etat qui observent une grève de sept jours suivant le mot d’ordre du Syndicat national des agents du ministère de l’intérieur de Côte d’Ivoire (SYNAMICI), qui revendique la signature de différents décrets concernant leur traitement salarial et la levée de sanction contre certains de leurs collègues des sous-préfectures et préfectures.
La secrétaire général de la préfecture de Bouaké, préfet par intérim, Mme Loboué Née Michèle Hortense Amani, a indiqué, mardi, à Bouaké, qu’aucun service n’est paralysé parce cinq jeunes volontaires et deux stagiaires de l’École nationale de l’administration (ENA) occupent les différents postes.
A part le chauffeur et le garde sous-préfecture, les autres agents sont absents à leurs postes, a-t-elle fait savoir.
Ces jeunes volontaires avaient été recrutés depuis l’année dernière dans le cadre d’un projet du ministère de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Programme des volontaires des Nations Unies.
Les membres du Syndicat national des agents du ministère de l’intérieur de Côte d’Ivoire observent sept jours d’arrêt de travail pour exiger la signature du décret portant octroi d’indemnités d’astreinte à tous les agents du ministère de l’intérieur, la tarification des actes administratifs pour l’institution et l’octroi de primes à tous les agents et la création d’une police préfectorale.
Ils demandent, par ailleurs, la levée des sanctions de leurs collèges à savoir, le licenciement de deux gens de maison en service dans les résidences des sous-préfets d’Andé (département de Bongouanou) et de Daloa, la suspension de solde d’un agent de la préfecture de Ferkessédougou et trois autres cas de mutation qu’ils qualifient "d’abusifs".
nbf/fmo
La secrétaire général de la préfecture de Bouaké, préfet par intérim, Mme Loboué Née Michèle Hortense Amani, a indiqué, mardi, à Bouaké, qu’aucun service n’est paralysé parce cinq jeunes volontaires et deux stagiaires de l’École nationale de l’administration (ENA) occupent les différents postes.
A part le chauffeur et le garde sous-préfecture, les autres agents sont absents à leurs postes, a-t-elle fait savoir.
Ces jeunes volontaires avaient été recrutés depuis l’année dernière dans le cadre d’un projet du ministère de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Programme des volontaires des Nations Unies.
Les membres du Syndicat national des agents du ministère de l’intérieur de Côte d’Ivoire observent sept jours d’arrêt de travail pour exiger la signature du décret portant octroi d’indemnités d’astreinte à tous les agents du ministère de l’intérieur, la tarification des actes administratifs pour l’institution et l’octroi de primes à tous les agents et la création d’une police préfectorale.
Ils demandent, par ailleurs, la levée des sanctions de leurs collèges à savoir, le licenciement de deux gens de maison en service dans les résidences des sous-préfets d’Andé (département de Bongouanou) et de Daloa, la suspension de solde d’un agent de la préfecture de Ferkessédougou et trois autres cas de mutation qu’ils qualifient "d’abusifs".
nbf/fmo
