Yamoussoukro- Vingt-cinq enfants porteurs de bagages dans les marchés, appelés communément "Tantie bagage" ont été instruits, samedi, sur leurs droits, en vue de les encourager à quitter la rue pour l’école ou les centres de formation aux petits métiers.
Initiée par "SOS village d’enfants" de Yamoussoukro, la formation a porté sur la politique de protection et les droits des enfants dans le cadre du projet ’Tantie bagage’. Elle a rassemblé, à l’école confessionnelle islamique de Yamoussoukro, 25 filles, âgées de huit à 15 ans, retirées de la rue.
Le psychologue formateur de SOS village, le Dr Assène Bridji, et l’assistance sociale, Kamagaté Abiba, promotrice communautaire en charge du projet, ont indiqué que l’objectif est de sortir ces enfants de l’activité de porteurs de bagages, en vue de faciliter leur insertion sociale et éducative.
Démarré en 2017, le projet ’Tantie bagage’ a déjà permis d’insérer 25 premiers enfants dans les petits métiers. "Nous comptons, après les 25 enfants de cette année, poursuivre l’année prochaine avec 25 autres enfants pour porter le nombre à 75 enfants bénéficiaires", a promis la chargée du projet.
Mme Kamagaté Abiba a saisi l’occasion pour sensibiliser les enfants sur les dangers que représente cette activité de "Tantie bagage". "Nous sommes là aussi pour éveiller la conscience de ces enfants", a-t-elle souligné, invitant les parents à s’impliquer dans la protection de leurs enfants dont "la place n’est pas dans la rue, mais à l’école".
nam/kp
Initiée par "SOS village d’enfants" de Yamoussoukro, la formation a porté sur la politique de protection et les droits des enfants dans le cadre du projet ’Tantie bagage’. Elle a rassemblé, à l’école confessionnelle islamique de Yamoussoukro, 25 filles, âgées de huit à 15 ans, retirées de la rue.
Le psychologue formateur de SOS village, le Dr Assène Bridji, et l’assistance sociale, Kamagaté Abiba, promotrice communautaire en charge du projet, ont indiqué que l’objectif est de sortir ces enfants de l’activité de porteurs de bagages, en vue de faciliter leur insertion sociale et éducative.
Démarré en 2017, le projet ’Tantie bagage’ a déjà permis d’insérer 25 premiers enfants dans les petits métiers. "Nous comptons, après les 25 enfants de cette année, poursuivre l’année prochaine avec 25 autres enfants pour porter le nombre à 75 enfants bénéficiaires", a promis la chargée du projet.
Mme Kamagaté Abiba a saisi l’occasion pour sensibiliser les enfants sur les dangers que représente cette activité de "Tantie bagage". "Nous sommes là aussi pour éveiller la conscience de ces enfants", a-t-elle souligné, invitant les parents à s’impliquer dans la protection de leurs enfants dont "la place n’est pas dans la rue, mais à l’école".
nam/kp
