Bouna - L'indécision dans le choix de l'étude ou du métier constitue un facteur handicapant dans le processus socio-professionnel, a relevé le directeur du centre d'information et d'orientation (CIO) de Bouna, Tanoh N'gaza Jules, au cours d'un entretien avec l'AIP en marge des journées d'informations et d'orientation tenues jeudi et vendredi à Bouna et à Nassian (Nord-Est, Bounkani).
Bepc, Bac, Université, Grandes écoles, Centres de formation technique et professionnelle, quête d'un premier emploi, filières porteuses d'emploi...voilà l'univers coloré des vocables qui retiennent l'attention de la jeunesse en général.
Pourtant, ces jeunes diplômés qui sortent, par milliers, des écoles et université, sont sans emploi. Et l'une des principales raisons de cette situatrion, selon M. Tanoh N'gaza, reste la méconnaissance des métiers à vouloir exercer.
"Le déficit d'informations sur les métiers existants, les filières conduisant à ces métiers et l'indécision dans le choix d'étude ou de métier sont des facteurs handicapants dans le processus socio-professionnel", a-t-il relevé.
Pour lui, des initiatives à entreprendre pour y remédier demeurent. Il s'agit notamment d'aider les élèves à murir leur projet d'étude et de profession, d’inviter les parents à accompagner leurs enfants dans la formulation de ces projets et à s'intéresser davantage à la formation professionnelle de ceux-ci.
Les journées d'informations et d'orientation lancées par le CIO dans la région du Bounkani ont pour objectif majeur de permettre à toute la jeunesse et en particulier la jeunesse scolaire de s'informer sur les métiers et filières de formation professionnelle et les conditions d'accès à la Fonction publique, rappelle-t-on.
(AIP)
on/bsp/kp
Bepc, Bac, Université, Grandes écoles, Centres de formation technique et professionnelle, quête d'un premier emploi, filières porteuses d'emploi...voilà l'univers coloré des vocables qui retiennent l'attention de la jeunesse en général.
Pourtant, ces jeunes diplômés qui sortent, par milliers, des écoles et université, sont sans emploi. Et l'une des principales raisons de cette situatrion, selon M. Tanoh N'gaza, reste la méconnaissance des métiers à vouloir exercer.
"Le déficit d'informations sur les métiers existants, les filières conduisant à ces métiers et l'indécision dans le choix d'étude ou de métier sont des facteurs handicapants dans le processus socio-professionnel", a-t-il relevé.
Pour lui, des initiatives à entreprendre pour y remédier demeurent. Il s'agit notamment d'aider les élèves à murir leur projet d'étude et de profession, d’inviter les parents à accompagner leurs enfants dans la formulation de ces projets et à s'intéresser davantage à la formation professionnelle de ceux-ci.
Les journées d'informations et d'orientation lancées par le CIO dans la région du Bounkani ont pour objectif majeur de permettre à toute la jeunesse et en particulier la jeunesse scolaire de s'informer sur les métiers et filières de formation professionnelle et les conditions d'accès à la Fonction publique, rappelle-t-on.
(AIP)
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