Abidjan- Le gouvernement ivoirien, en collaboration avec la CEDEAO et le département d’Etat américain, ont organisé jeudi, à Abidjan, l’ouverture officielle du centre national de coordination du mécanisme de réponse à l’alerte précoce opérationnel (CNCMR), le rendant désormais opérationnel.
Représentant le premier ministre, ministre du budget et du portefeuille de l’Etat à cette cérémonie, le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, a expliqué que « la question de la sécurité humaine, est aujourd’hui un défi de premier ordre qui s’ajoute aux questions de développement des Etats membres ».
Il a relevé que la mise en place de cette structure vient compléter le dispositif au niveau régional et interne, des instruments de veille et d’information en vue de faire face aux différentes menaces d’ordres sécuritaire.
Se félicitant de la mise en œuvre de cette structure, le représentant du Premier ministre, Amadou Gon, a assuré que « le gouvernement entend assurer le bien être du citoyen en garantissant sa sécurité, son épanouissement, ses droits fondamentaux et son équilibre ».
Pour le président de la commission de la CEDEAO, Jean Claude Brou, « la mise en place de ce centre est un pilier essentiel dans l’architecture de paix et de sécurité dans notre région ». Il a expliqué qu’à brève échéance, ce mécanisme devra couvrir toute la région et se poser « comme l’instrument de solidarité communautaire indispensable pour la prévention, la gestion et la préservation des conflits ».
Il a expliqué que le processus de création de ces centre a débuté, en 2015, par une phase pilote incluant le Liberia, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Burkina-Faso, la Guinée Bissau.
Créé par décret le 2 mars 2016, le CNCMR est un programme dont l'objectif est de soutenir et renforcer la stratégie de la CEDEAO en matière de partage d’informations entre les Etats membres, en vue de prévenir et/ou d’atténuer les menaces.
Il a pour missions d’alerter le gouvernement sur les menaces à la sécurité humaine et de lui proposer des réponses adaptées, de coordonner et assurer le suivi de la mise en œuvre des réponses à l’alerte et d’optimiser la collecte, la qualité et l’analyse des informations par une approche participative impliquant les acteurs.
Placé sous la tutelle du chef du gouvernement, le CNCMR qui découle du cadre stratégique pour la mise en place de mécanismes nationaux d’alerte précoce, adopté par les chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, lors de la 45ème session ordinaire tenue à Accra, le 14 juillet 2014, est un organisme à but non lucratif chargé d’une mission d’intérêt public. Il est composé de deux organes que sont le conseil statutaire et la direction.
gak/fmo
Représentant le premier ministre, ministre du budget et du portefeuille de l’Etat à cette cérémonie, le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, a expliqué que « la question de la sécurité humaine, est aujourd’hui un défi de premier ordre qui s’ajoute aux questions de développement des Etats membres ».
Il a relevé que la mise en place de cette structure vient compléter le dispositif au niveau régional et interne, des instruments de veille et d’information en vue de faire face aux différentes menaces d’ordres sécuritaire.
Se félicitant de la mise en œuvre de cette structure, le représentant du Premier ministre, Amadou Gon, a assuré que « le gouvernement entend assurer le bien être du citoyen en garantissant sa sécurité, son épanouissement, ses droits fondamentaux et son équilibre ».
Pour le président de la commission de la CEDEAO, Jean Claude Brou, « la mise en place de ce centre est un pilier essentiel dans l’architecture de paix et de sécurité dans notre région ». Il a expliqué qu’à brève échéance, ce mécanisme devra couvrir toute la région et se poser « comme l’instrument de solidarité communautaire indispensable pour la prévention, la gestion et la préservation des conflits ».
Il a expliqué que le processus de création de ces centre a débuté, en 2015, par une phase pilote incluant le Liberia, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Burkina-Faso, la Guinée Bissau.
Créé par décret le 2 mars 2016, le CNCMR est un programme dont l'objectif est de soutenir et renforcer la stratégie de la CEDEAO en matière de partage d’informations entre les Etats membres, en vue de prévenir et/ou d’atténuer les menaces.
Il a pour missions d’alerter le gouvernement sur les menaces à la sécurité humaine et de lui proposer des réponses adaptées, de coordonner et assurer le suivi de la mise en œuvre des réponses à l’alerte et d’optimiser la collecte, la qualité et l’analyse des informations par une approche participative impliquant les acteurs.
Placé sous la tutelle du chef du gouvernement, le CNCMR qui découle du cadre stratégique pour la mise en place de mécanismes nationaux d’alerte précoce, adopté par les chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, lors de la 45ème session ordinaire tenue à Accra, le 14 juillet 2014, est un organisme à but non lucratif chargé d’une mission d’intérêt public. Il est composé de deux organes que sont le conseil statutaire et la direction.
gak/fmo
