Bondoukou– Le président du Centre régional d’appui à la société civile de la région de l’Est (CRASC –EST), Adou Kouassi Bini, a plaidé pour une aide financière pour permettre à son centre de fonctionner de façon efficace.
Lors de la tenue, vendredi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), d’une assemblée générale ordinaire en vue de valider et d’adopter les outils de gestion du CRASC-EST, Adou Bini a indiqué que sa structure a besoin de la somme de 438 000 FCFA en moyenne par mois, pour son fonctionnement, soit un total de 4 868 000 F CFA par an.
"Je lance un appel solennel aux autorités locales, aux entreprises privées installées sur le territoire de l’Est, aux opérateurs économiques et aux personnes de bonne volonté pour un soutien financier", a-t-il annoncé, espérant compter sur la générosité des donateurs potentiels.
M. Adou a remercié le Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP), l’Union européenne et le conseil municipal de Bondoukou pour leur soutien matériel et financier qui a permis au CRASC-EST de fonctionner depuis deux ans.
Selon le président, ce partenariat a permis également aux organisations de la société civile des cinq régions de l’Est de disposer d’un mécanisme opérationnel d’accompagnement et d’encadrement, leur permettant de développer leurs capacités techniques organisationnelles et institutionnelles.
Le CRASC-EST, exerçant dans les régions du Bounkani, de l’Indénié-Djuablin, de l’Iffou, du Moronou et du Gontougo, est un espace de concertation et de réflexion sur diverses questions en relation avec le développement local.
Il a pour mission de contribuer à susciter la participation des organisations des sociétés civiles dans la mise en œuvre des politiques publiques locales et de consolider la cohésion sociale.
Zaar/kp
Lors de la tenue, vendredi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), d’une assemblée générale ordinaire en vue de valider et d’adopter les outils de gestion du CRASC-EST, Adou Bini a indiqué que sa structure a besoin de la somme de 438 000 FCFA en moyenne par mois, pour son fonctionnement, soit un total de 4 868 000 F CFA par an.
"Je lance un appel solennel aux autorités locales, aux entreprises privées installées sur le territoire de l’Est, aux opérateurs économiques et aux personnes de bonne volonté pour un soutien financier", a-t-il annoncé, espérant compter sur la générosité des donateurs potentiels.
M. Adou a remercié le Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP), l’Union européenne et le conseil municipal de Bondoukou pour leur soutien matériel et financier qui a permis au CRASC-EST de fonctionner depuis deux ans.
Selon le président, ce partenariat a permis également aux organisations de la société civile des cinq régions de l’Est de disposer d’un mécanisme opérationnel d’accompagnement et d’encadrement, leur permettant de développer leurs capacités techniques organisationnelles et institutionnelles.
Le CRASC-EST, exerçant dans les régions du Bounkani, de l’Indénié-Djuablin, de l’Iffou, du Moronou et du Gontougo, est un espace de concertation et de réflexion sur diverses questions en relation avec le développement local.
Il a pour mission de contribuer à susciter la participation des organisations des sociétés civiles dans la mise en œuvre des politiques publiques locales et de consolider la cohésion sociale.
Zaar/kp
